| | | Création du mois de Juillet |    |
| | Auteur | Message |
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Fuyaya Admin
 Date d'inscription : 29/09/2009
Age : 44
Localisation : Aubais
 |  Sujet: Création du mois de Juillet Ven 04 Juil 2014, 13:53 | |
| Dépôt des créations du mois de Juillet 2014Ce sujet est dédié aux dépôts des créations, postez une réponse par personne et pour une seule création, pas de flood ou de réactions, si vous voulez vraiment dire quelque chose ouvrez un sujet de discussion. Votre création peut être ce que vous voulez, un sims, une maison, un montage, une recoloration, un pattern, un mesh... Postez un nombre raisonnable de photos, pas besoin de 50 pour un sims ou un pattern, 2 ou 3 suffiront, vous pouvez en mettre plus si c'est une maison aménagée mais utilisez les spoilers.
Date limite de dépôt: 31/07/2014
Bonne chance à tous !
Envie de discuter des créations c'est dans ce sujet |
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Bloup Admin
Date d'inscription : 27/11/2012
Age : 36
Localisation : Plein Sud !
| | Sujet: Re: Création du mois de Juillet Mar 22 Juil 2014, 20:50 | |
| Allez, je propose pour ouvrir le bal (encore) un parc: le Parc des Songes - Images:
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Nerwen666 Poseur d'avant-garde
Date d'inscription : 04/05/2013
Age : 31
Localisation : Belgique
| | Sujet: Re: Création du mois de Juillet Ven 25 Juil 2014, 18:37 | |
| Bon allez. Je participe pour le fun (mais vraiment pour le fun parce que c'est loin d'être parfait). Voici une Simsette que j'ai créée. Le gothic m'a beaucoup inspiré. :p Je vous demande de ne pas faire attention au tatouage qui manque pour le maillot de bain, même si c'est difficile. Mais le créateur a oublié de le mettre dans cette catégorie et comme je l'avais déjà mis dans toutes les autres catégories, j'ai eu... la flemme.  - Voilà voilà:
Très joli parc, au passage Bloup ! Très paisible.  Et j'aime beaucoup le coin fleuri avec le banc. |
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nostaw. Débutant des galeries d'art
Date d'inscription : 19/02/2013
Age : 24
| | Sujet: Re: Création du mois de Juillet Ven 25 Juil 2014, 22:26 | |
| Hop hop je me dépêche avant la clôture du sujet ! Je présente le couple McCall  - Spoiler:
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SugoiZiua Peintre prestigieux
Date d'inscription : 13/08/2011
Age : 25
| | Sujet: Re: Création du mois de Juillet Sam 26 Juil 2014, 12:05 | |
| Je propose ma dernière maison (enfin, pas tout) ! - Spoiler:
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Rope' Peintre prestigieux
 Date d'inscription : 15/01/2012
Age : 31
| | Sujet: Re: Création du mois de Juillet Sam 26 Juil 2014, 12:56 | |
| Je vais proposer quelque chose d'un peu original, un mélange d'écriture et d'illustration, pour vous raconter l'histoire d'Oscar Byles, à travers de 5 épisodes. - Oscar:
Un temps pour l'insouciance.Un temps pour les rêves, un temps pour l'innocence.
Je n'ai pas de souvenir marquant de mon enfance, sinon que tout était plus simple à cette époque : C'était avant que mon père ne place sur mes frêles épaules le poids de l'empire dont il posait encore les fondements. J'étais comme tous les gamins, j'allais étudier à l'école, et même si je ne me montrais pas particulièrement brillant, je devais faire de mon mieux. Pour que mes parents soient fiers de moi. Déjà, j'avais le sentiment de ne pas être comme les autres.
Mère me disais que je lui rappelais mon oncle, j'avais sa fougue, lui aussi était incapable de rester en place. Pourtant, les genoux ramenés contre ma poitrine, assis à son chevet, j'aurais pu l'écouter des heures quand elle me racontait ses aventures.
Quand je rentrais chez moi le soir, je grimpais parfois aux arbres et m'imaginais rejoindre les oiseaux. C'est leur liberté que j'enviais.
J'entendais mes amis m’appeler d'en bas. Je répondais distraitement, sans détourner les yeux du ciel.Rage.Qui se cache derrière ce masque ?Il avait fini par s'éloigner du reste de la bande. Ils en étaient venus aux mains, lui et Hyung, et ce n'était pas la première fois, depuis que les vacances d'été nous permettaient de nous voir tous plus souvent. Hyung était comme ça, un colosse toujours dans l'excès, surtout après quelques verres. Pas rancunier pour un sous, surtout avec son meilleur ami, je savais que l'incident serait oublié dès le lendemain. Oscar, lui...
Je lui caressais la joue du bout des doigts, il ne réagissait pas.Il avait bien changé, depuis le temps où nous n'étions encore que des enfants ! C'était devenu un garçon adorable, beaucoup plus posé, qui n'avait jamais un mot plus haut que l'autre. Parfois je le surprenais seul, au petit matin, contemplant les jardins de la propriété de mes parents. Alors, je lui trouvais le regard éteins, ce regard si vif et plein de malice il y a encore quelques années. Il m'assurait que tout allait bien, et je me souvenais que plus jeune, les attentes de son père avaient été pour lui un fardeau, alors qu'il n'aspirait qu'à une vie d'aventure.
Pourtant aujourd'hui, il pouvait me parler des heures des recherches qu'il menait avec lui, illuminé par l'enthousiasme. Et ce sans se rendre compte que je perdais souvent le fil, trop occupée à le regarder sourire. C'est pour ces sourires là que je l'aimais.Il essayait tant bien que mal de s'expliquer, l'esprit embrumé par l'alcool. Et moi je riais de plus belle, devant sa moue boudeuse et ses paroles confuses, mais il se détournait. Je n'en chérissais pas moins ces rares moments où il se livrait, tout comme... j'aimais ceux où il lâchait les bondes de cette colère : j'avais l'impression de retrouver le garçon impétueux dont j'étais tombée amoureuse.Un Commencement.Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre.
Et si nous versions encore des larmes, c'était plutôt à force de rire ! Eon-jin, la grand-mère de Sonoe, avait énormément voyagé et chaque photo, chaque carnet qu'elle avait pu conserver nous apparaissait alors comme la plus précieuse des reliques. Au milieu de ces vieux cartons, c'est une vie entière que nous parcourions avec avidité.
Sonoe avait grandi bercée par des anecdotes et des aventures qu'elle ne se lassait pas de raconter à son tour. De mon côté, je ne me lassais jamais de l'écouter ! Elle était entrée dans ma vie quelques années plus tôt : elle vivait seule avec sa grand-mère dans l'appart du dessous. Je l'avais surprise un soir, montant sur les toits par l’échelle de secours. Depuis, je la rejoignais à chaque fois, et nous parlions des heures de nos vies, nos rêves et nos espoirs, tout en contemplant la ville.
Si nous plaisantions, c'était aussi pour éviter de parler de ce qui nous semblait inévitable. Sonoe aussi rêvait de parcourir le monde, marchant ainsi dans les pas de celle qui l'avait élevée... seulement aujourd'hui, je savais que plus rien ne la retenait vraiment. Alors quand elle me proposa de l’accompagner, comme elle ne manquait jamais de le faire quand nous évoquions le sujet, j’envisageais l'idée avec un intérêt nouveau.Le Flambeau.La liberté, c'est de pouvoir faire ses propres choix.
Il avait eu des mots durs, quand il avait appris pour mes projets de voyage. Ma mère elle, était restée silencieuse tout le long. C'est donc le cœur lourd que j'avais quitté les miens. Bien décidé à profiter de ma liberté nouvellement acquise, j'avais pris la décision de couper les ponts.
Accompagné de Sonoe, j'étais parti explorer le monde. Bien sûr, tout n'avais pas toujours été facile : j'avais grandi en ville, dans une famille aisée, et je ne garde pas forcément un bon souvenir de mes premières nuits à la belle étoile ! Mais toutes les découvertes, toutes les rencontres que j'ai pu faire, valaient bien tout le confort du monde. Seulement, passée l’excitation des premiers moments, tous ceux que j'avais laissé derrière moi me manquaient terriblement. Le premier matin où j'ouvrais les yeux en Australie, observant la vue depuis la fenêtre de l'hôtel, je ne pouvais m'empêcher de penser que c'est là que mon père avait grandi. C'était assez troublant de l'imaginer lui, jeune et encore insouciant !
Ce soir là, Sonoe et moi campions avec d'autres jeunes rencontrés en chemin. Emporté par la nostalgie, je m'éloignais des autres installés autour du feu de camp, et décidais d'allumer mon portable pour la première fois depuis mon départ. Sur le répondeur, ma mère m'avait laissé tout un tas de messages, d'abord m'implorant de la rappeler dès que possible. Puis finalement, elle m'apprenait la nouvelle.
Ce dernier message, elle l'avait laissé il y a un mois. J'avais l'impression de n'avoir jamais réellement connu mon père, et maintenant... maintenant, c'était trop tard. Il avait été absent tout au long de mon enfance, et ce n'est que quand j'avais pu m'impliquer dans ses projets que nous nous étions retrouvés. Que j'avais aimé ces moments là ! Et la rancune que j’avais pu ressentir, à cause de son exigence, était finalement peu de chose face à l'admiration que j'éprouvais pour lui. Alors m'enfonçant d'avantage dans la nuit, je pleurais en silence.
Le jour suivant, je prenais le chemin du retour. Il avait tant donné pour réaliser ses propres rêves, je me devais de reprendre le flambeau.Le Repos des Rois.Étonnant comme parfois, l'histoire se répète.
Je profite de l'accalmie pour te rendre visite. Les premiers ducs doivent arriver demain à la capitale, et mon couronnement lui doit avoir lieu au début du prochain cycle, comme c'est l'usage. D'ici là, j'ai peur de ne pas avoir de temps pour venir te voir, ici au repos des rois. Sonia a tenu à m'accompagner, et je n'ai pas eu le cœur à lui refuser : ma promise m'est d'un grand soutient depuis ton départ, tout comme pour Mère. Ce matin-même, je les ai surprises toutes les deux dans les jardins, riant de bon cœur en parlant du passé !
Aujourd'hui, je crois que je suis en paix avec moi-même, j'ai accepté ce qui m'attends. Quand ta santé à commencé à décliner, j'étais plein d'appréhension, après tout, je n'aspirais qu'à profiter de mes jeunes années pour explorer le monde. Tu sais, le fils du duc de Rosvald m'avait proposé de l’accompagner dans sa visite des cités du Sud. La perspective de ce voyage m’enchantait, quel plaisir ça aurait été de découvrir l'animation des cités portuaires, dégustant les meilleurs vins en bonne compagnie !
Pourtant, j'étais resté.
Je sais aujourd'hui que tu as fais de ton mieux pour me préparer à prendre ta suite, dès mon plus jeune âge. Tu me convoquais tout les soirs, après ton capitaine des armées, pour faire à mon tour un rapport sur ma journée, et ce sans oublier le moindre détail. Tu écoutais attentivement le récit décousu de mes leçons, de mes jeux, mais tu n'arrivais parfois pas à garder ton sérieux ! Quand je fus plus âgé, c'est devant l’échiquier que nous nous retrouvions, et c'était l'occasion d'évoquer ensemble les affaires du royaume.
Ces moments partagés se sont fait plus rares ensuite. L'exercice du pouvoir avait imposé une distance entre nous, et si je suis resté à ton chevet les derniers jours, c'est parce que j'espérais pouvoir rattraper le temps perdu. Père, j'espère être en mesure de gouverner en te faisant honneur, avec la même sagesse dont tu as fait preuve tout le long de ton règne. Tu nous a mené vers un nouvel âge d'or, et le royaume portera longtemps encore le deuil de son roi.
Moi, c'est la perte d'un père que je pleure, dans la solitude de la nuit, parce qu'il me faut être fort aujourd'hui plus que jamais.
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