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Quel texte respecte le mieux le thème et la contrainte ? | Celui de Eleanys | | 0% | [ 0 ] | Celui de Lehanna | | 100% | [ 3 ] |
| Total des votes : 3 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Esprit d'équipe Jeu 03 Déc 2015, 21:00 | |
| Il est temps de voter pour la battle!Thème : Esprit d'équipe.
Contrainte : L'action ne se déroule pas dans un milieu sportif.
Limite : environ 1000 mots..
Vôtre rôle si vous l'acceptez est de voter pour la création qui selon vous incarne le mieux le thème tout en respectant la contrainte.
Les votes sont ouverts jusqu'au 10/12/2015 Voter c'est bien MAIS laisser un commentaire c'est bien mieux - Eleanys : Combats:
Il fait sombre. Un réverbère solitaire éclaire d’une pâle lueur la ruelle. Aucun bruit ne trouble la quiétude de cette froide nuit d’hiver. Soudain, une ombre se détache du mur. Après un rapide regard, elle prend appui sur une poubelle et crochète un appui de fenêtre, avant de s’y hisser. Juste à temps. Un gyrophare bleu déchire la nuit à sa suite, une voiture de police déboule dans cette impasse. 2 hommes en sortent, armes au poing. Sur le rebord de la fenêtre, la fine silhouette se colle un peu plus au mur de briques et retient sa respiration. Les 2 hommes ne la voient pas, ils vont remonter dans leur voiture quand son pied, engourdi par sa position inconfortable, ripe sur le bord. Elle se rattrape de justesse, mais il est trop tard, elle est repérée. Son cerveau tourne à toute allure, analyse l’endroit. Aucune sortie de secours. Son dernier espoir, parvenir à atteindre le mur qui clôt l’impasse. Elle se ramasse sur elle-même, mais alors qu’elle va bondir, la fenêtre derrière elle s’ouvre, et une main inconnue la tire en arrière. Elle se laisse tomber à l’intérieur et son mystérieux sauveur referme la fenêtre juste à temps. Ils entendent distinctement l’impact d’une balle sur le mur. L’inconnu, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, s’exclame : -« Vite, ils vont avoir vite fait de monter ici. On doit déguerpir d’ici en vitesse » Elle acquiesce. Le répit aura été de courte durée. Soudain, elle réalise ce qu’il vient de dire : -« On ? » -« Je ne vais tout de même pas te laisser repartir seule ! On n’abandonne pas une amie dans le besoin » conclut-il avec un clin d’œil. La jeune fille détaille son sauveur. Le corps mince, ses muscles transparaissent sous son t-shirt et il semble déterminé. Elle répugne à l’entrainer dans ses histoires. Par-delà les minces cloisons, elle entend des bruits dans la cage d’escalier. Ses 2 poursuivants ont réussi à rentrer. Elle n’a plus le temps de la convaincre, et elle sent qu’il ne la laissera pas en paix. Sans un mot, elle se dirige vers la porte : -« Tu viens ? » lui lance-t-elle Son mystérieux sauveur lui adresse un sourire retors, et désigne la fenêtre : -« Ils ne s’y attendront pas. On va passer par les toits. » Quittant la pièce, ils enjambent la fenêtre et escaladent l’immeuble jusqu’aux toits. Ils courent un long moment, sautant entre les immeubles, jusqu’à ce que chacun leur tour, ils manquent de tomber. D’un commun accord, ils décident de faire une pause. La jeune fille sort de son sac une barre énergétique qu’elle lance à son acolyte. Il la rattrape avec adresse et l’ouvre sans plus de cérémonie. La jeune fille sourit devant son appétit, et mange la sienne aussi. Ils restent un long moment silencieux, en regardant le ciel se parer lentement des couleurs de l’aube. -« Comment tu t’appelles ? » finit par demander la jeune fille. -« Zed » Sa réponse laconique montre son habitude des affaires louches. Elle sourit en comprenant que c’est une recrue de choix. Son silence finit par obliger Zed à la questionner également. Elle ouvre la bouche pour lui répondre quand une silhouette sur le toit d’en face apparait. Aussitôt sur ses gardes, la jeune fille se relève. La silhouette se contente de leur adresser un avertissement, les désignant, puis montrant le sol avant de disparaitre. La jeune fille hausse les épaules, et déclare simplement : -« Fin de la ballade, on ferait mieux de redescendre » Une fois sur la terre ferme, ils gardent une allure normale, pour éviter d’attirer l’attention. Mais au détour d’un croisement, des sirènes retentissent. Des fourgons bloquent la route, ils sont coincés. La jeune fille, loin d’être impressionnée, sourit d’un air mauvais, avant de siffler 3 notes, qu’elle répété plusieurs fois. Pendant ce temps, des hommes se sont approches, et les 2 jeunes se sont mis dos à dos, dans une position de garde. Alors que les premiers belligérants foncent sur eux, une dizaine de personnes surgissent des toits et des coches d’immeubles environnants, et se jettent dans la bataille. Le combat, maintenant équilibré, reprend après un moment de flottement du côté des assaillants. La jeune fille est pareille à un feu follet, elle virevolte et met hors d’état de nuire tous ceux qui l’approchent. Un vide se crée autour d’elle, elle peut reprendre son souffle. Elle va bondir sur l’un des hommes qui maintient l’un de ses amis en mauvaise posture quand la voix de Zed déchire l’aube naissante : -« Attention ! » La jeune fille n’a que le temps de se retourner. Une balle lui transperce l’estomac.
-« Mademoiselle ! Mademoiselle ! Réveillez-vous !» Une frêle jeune fille blonde entrouvre avec difficultés les yeux, complètement perdue. Une douleur lui vrille l’estomac. -« Paul, c’est bon, la petite est réveillée ! » s’exclame la voix masculine qui l’a interpellé. -« Vous nous avez fait une peur bleue ma petite » dit en s’approchant une seconde voix La blonde papillonne des yeux, 3 personnes se tiennent autour d’elle. Elle ne les connait pas. Elle ne sait même pas ce qu’elle fait allongée dans cet espace blanc. Elle tente de se relever, une main ferme l’en empêche. Avec effort, elle demande où elle se trouve. -« Vous ne vous souvenez de rien ? demande avec douceur une nouvelle venue. Vous êtes à l’hôpital. Vous vous êtes pris une balle dans le ventre. Vous déliriez, vous parliez à un certain Zed. Vous vous êtes beaucoup débattue aussi, on aurait dit que vous combattiez quelque chose. Enfin, vous êtes sauvé. Toute l’équipe a fait un travail formidable sur vous ! » Conclut la femme. La jeune fille se laisse retomber sur l’oreiller. Tout le monde pour la sauver, comme dans ce qu’elle vient de vivre. Son délire apparemment. Malgré la présence de l’équipe médicale autour d’elle, elle se sent désespérément seule.
- Lehanna :
C’était en décembre 2011. Je m’en souviens parfaitement parce que c’est à ce moment que j’ai vraiment compris la magie de la photographie. Encore aujourd’hui, je ne sais pas si c’est grâce à Noël qui approchait, grâce à l’excitation latente qui m’avait envahie quelques jours plutôt, grâce au soudain intérêt que mon actuel petit copain – à l’époque, il n’était qu’un garçon inaccessible – avait ressenti envers ma personne, grâce au fait était que j’étais euphorique et que plus que jamais je souhaitais tenir mon appareil entre les mains.
Parlons-en, de mon appareil. Ce n’était, et ce n’est toujours, qu’un petit numérique, un petit compact, rien d’extraordinaire – le genre de bidule que tout le monde a chez soi, dont tout le monde perd son chargeur, et que tout le monde finit par exploser faute d’attention ou à cause d’un insidieux grain de sable qui se serait faufilé dans les mécanismes. Non, vraiment, il n’avait rien de spécial. D’autant que ça faisait longtemps qu’il m’accompagnait ; mais je l’avais tout juste ressorti des cartons, après mon déménagement, et je l’avais trouvé beau, et je m’étais demandé pourquoi je n’y avais pas fait attention avant, aussi.
À cette période de l’année, il faisait froid, les paysages étaient recouverts de neige ou d’une fine pellicule de givre, et les toiles d’araignées étaient glacées. C’était un temps à rester chez soi, à se pelotonner dans les couvertures et à regarder la télévision, un chocolat chaud dans une main, la télécommande dans l’autre – pour pouvoir zapper évidemment.
Marc était venu passer la soirée à la maison. Je me souviens qu’à la base, on devait sortir avec toute une bande d’amis. La météo avait pourtant fait des siennes : vent surpuissant, pluie glacée, chaussées glissantes. Les métros tournaient au ralenti et les autorités déconseillaient de sortir. Alors il était quand même venu, et pour se faire pardonner il avait emporté sa fameuse pizza maison, celle qu’il nous faisait toujours quand on allait squatter chez lui. Je ne lui avais pas dit que j’étais aux anges, mais je flottais réellement sur un petit nuage.
Son expression rêveuse, la position de son corps, son regard vide, et la vapeur de sa boisson qui l’entourait aussi – la poésie que sa personne seule dégageait était impressionnante. Subjuguante. Hypnotisante. Et c’est presque naturellement, presque mécaniquement, que j’ai levé l’appareil photo tout juste retrouvé et que j’ai appuyé sur le déclencheur. Trois fois, parce qu’on dit que ce chiffre porte bonheur, et aussi parce qu’actionner le mécanisme une seule fois, ça me paraissait un peu triste.
Aujourd’hui, prendre trois photos de suite est presque devenu un réflex, et c’est dans ces moments que je me dis que le numérique est une vraie révolution.
Les trois photos étaient réussies. À mes yeux inexpérimentés, c’était du travail magnifique – je me rendrais compte plus tard que sans être complètement sale, il y avait vraiment beaucoup de défauts ; mais ces clichés sont toujours restés parmi mes préférés. J’y avais instauré je ne sais comment une ambiance mystérieuse que je ne réussirais pas, par la suite, à retrouver. L’ondulation de la fumée, les couleurs froides données par le temps maussades, la mélancolie qui se dégageait du personnage, tout m’avait charmée – tout me charmait encore.
Rendre une telle sérénité dans une image, faire passer une telle impression de calme, c’était quelque chose qui m’avait beaucoup plu. Quelque chose qui m’avait presque paru naturel, aussi. Désormais, c’est mon but premier, quand je photographie : montrer un sentiment au spectateur.
En développant ces photos pour la première fois, j’ai vu à quel point elles me touchaient, j’ai vu à quel point j’y tenais. Et j’ai réalisé que la photo était peut-être l’un des meilleurs moyens de s’exprimer. J’ai eu une sorte de déclic, si vous voulez. Et j’ai commencé à vraiment m’y intéresser – la composition, la balance des blancs, les sujets. Toujours sur mon petit appareil, parce que c’est lui qui m’avait accompagnée au début, et parce que c’est celui que j’avais toujours utilisé.
« S’il y a quelques mois, on m’avait dit que tu photographierais… » Et les regards incrédules se posaient sur moi, et le ton ahuri me blessait parfois. Ces mots, ils étaient presque devenus mon quotidien. Ma famille, mes amis, mon entourage, personne ne comprenait. Seul Marc, qui avait vu les premiers clichés, m’avait accordé sa confiance.
Et le pire, c’était ma mère. Ma maman, avec qui j’avais tout partagé jusqu’à présent, ma maman, qui m’avait toujours soutenue. « Mais tu as autant de créativité qu’une cuillère à café ! », continuait-elle de me répéter. Et même aujourd’hui, elle me dit encore parfois qu’elle ne comprend pas comment j’avais pu développer si subitement une passion pareille. Un passe-temps pareil.
Mais c’était plus qu’un passe-temps, plus qu’une passion. C’était presque devenu une nécessité. Mon numérique me suivait partout, le son de l’obturateur me suivait partout.
Elle ne se rendait pas compte comme elle pouvait être blessante. « Autant de créativité qu’une petite cuillère. » Et les mots résonnaient, résonnaient, et ils m’ont hantée longtemps, ils ont résonné longtemps, dans ma tête, dans mes rêves, derrière mes paupières même.
Aujourd’hui, nous sommes en décembre 2015. Ça fait quatre ans que je pratique la photo. Quatre ans que je capte les émotions d’autrui, quatre ans que j’immortalise le charme des paysages, quatre ans que je découvre les mondes – simplement. J’ai dix-huit ans et je suis en prépa scientifique. Et c’est aujourd’hui que je vais annoncer à mes parents que je souhaite me réorienter.
Leur dire ça, alors qu’ils ont fondé tant d’espoirs en moi, alors que je m’apprêtais à réaliser leurs rêves dans l’une de ces écoles huppées de la capitale, alors qu’ils m’ont toujours dit qu’ils étaient si fiers de moi en parlant de mon futur d’ingénieure… C’est comme si j’avais honte. C’est comme si je n’assumais pas. Mais dans ma poche, je sens le poids rassurant de l’appareil, et j’ai l’impression de tâter mes rêves, de palper mon avenir, de toucher mon vrai moi.
Alors je me dis que peu importe leur réaction, après tout, parce que tout ce qui compte, c’est que j’ai trouvé ma voie. J’ai trouvé mon vrai partenaire. J’ai trouvé mon vrai ami. Et que grâce à lui, j’allais convaincre mes parents du bienfondé de ma décision.
Un vrai travail d’équipe.
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Lehanna Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 07/10/2011 Age : 27 Localisation : Nord (59)
| Sujet: Re: Esprit d'équipe Lun 07 Déc 2015, 00:18 | |
| Personne pour commenter ? Eleanys, j'ai apprécié l'utilisation du présent dans le texte. J'aime beaucoup ce temps qu'on n'utilise d'après moi pas assez, et il donne un certain côté vivant à un récit. D'autant que là c'est de l'action donc ça s'y prête bien. Le tout m'a fait pensé au Pacte des Marchombres de Bottero, c'est volontaire ? Tu connais ? En tout cas c'est bien rendu et on sent une jolie connivence entre les personnages. Par contre la chute m'a un peu déçue. Dans le sens où elle est mal exploitée : elle aurait pu être sympa si tu l'avais plus travaillée je pense. Là on passe sur des détails qui auraient mérité qu'on s'y attarde, et le sens de tes phrases sur le dernier paragaphe n'est pas toujours clair. Et aussi, dernière remarque avant de me taire, parfois tes phrases mériteraient d'être coupées par un point plutôt que par une virgule (type : elle regarde au tour d'elle, ils sont cernés. Tu pourrais mettre : elle regarde autour d'elle ; ils sont cernés. Ou encore : elle regarde autour d'elle - ils sont cernés. Ou même : elle regarde autour d'elle : ils sont cernés. Ça fonctionne mieux qu'une virgule). Sinon très bon texte, bravo ! |
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Maeleo As de l'acrylique Date d'inscription : 17/10/2012 Age : 26 Localisation : dans ma bulle
| Sujet: Re: Esprit d'équipe Lun 07 Déc 2015, 16:44 | |
| Moi moi moi, je commente et vote, pas eu le temps la semaine dernière ;_; Eleanys : J'ai bien aimé le contexte de l'esprit d'équipe, c'est original ! Et tu écris bien, ton style décrit bien l'action, surtout l'utilisation du présent, comme l'a dit Lehanna. Mais comme Lehanna, je reste un peu sur ma faim avec la chute, qui selon moi n'a pas été assez développée, ou travaillée, ou n'était carrément pas nécessaire, finalement. Car, si j'ai tout compris, elle a tout halluciné, même les policiers, donc d'où vient la balle ? Lehanna : Ton texte m'a totalement subjuguée. Il sonne tellement vrai, et je pense qu'il l'est, que ce narrateur n'est autre que toi. Je ne peux pas m'empêcher que m'y retrouver un peu, pourtant, bien que je ne pratique pas la photographie. Je me retrouve en tant que cette fille en qui on avait placé de grandes ambitions mais qui n'aspire qu'à vivre de sa passion. Et j'ai beaucoup aimé la chute, jamais je n'aurais vu la relation d'un photographe avec son appareil photo comme d'un travail d'équipe. Bref, un très beau texte, rien à redire là-dessus ! Je vote Lehanna, mais Eleanys ne démérite pas pour autant, bravo à vous deux |
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Eleanys Débutant des galeries d'art Date d'inscription : 05/03/2012 Age : 25
| Sujet: Re: Esprit d'équipe Mar 08 Déc 2015, 13:11 | |
| Lehanna, MERCI! Oui j'ai relu les 3 cycles (ewilan et Ellana) très récemment, du coup j'ai été quelque peu inspiré par son univers! Merci de vos commentaires, je prend note!
Sinon, ton texte est magnifique, j'étais vraiment prise par ce que tu as raconté (c'est une expérience personnelle, ou au moins une amplification de quelque chose auquel tu penses!) Je me suis demandé au début comment tu ferais apparaitre cet esprit d'équipes, et la fin tombe comme une évidence, vraiment tout est parfait! |
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Shimydim Illustre illustrateur Date d'inscription : 24/09/2014 Age : 23 Localisation : Dans 3ds max / Bordeaux
| Sujet: Re: Esprit d'équipe Mar 08 Déc 2015, 19:27 | |
| Deux magnifiques textes ! Eleanys : J'aime beaucoup l'action qu'il y a dans ton texte, les péripéties qu'il y a Bonne idée de faire une chute à la fin, mais elle n'est pas assez développée à mon goût, on reste un peu sur notre faim : d'où vient la balle si son aventure avec Zed était imaginaire ? Mais j'aime beaucoup Lehanna : Hum, j'ai mis plusieurs minutes à comprendre où était l'esprit d'équipe, car il était beaucoup plus subtil que dans le texte de Eleanys, mais on sent l'union qu'il y a entre ton personnage et son appareil D'ailleurs ça sent un peu le vécu tout ça...- Et je vote pour...:
... Lehanna !
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Esprit d'équipe Jeu 17 Déc 2015, 17:02 | |
| C'est Lehanna qui a remporté cette battle ! |
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Lehanna Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 07/10/2011 Age : 27 Localisation : Nord (59)
| Sujet: Re: Esprit d'équipe Jeu 17 Déc 2015, 17:50 | |
| Merci tout le monde ! Je peux enfin répondre aux commentaires Ce n'est pas exactement ce que j'appellerais une expérience personnelle puisqu'elle ne m'est jamais arrivée, mais j'avoue que les émotions ressenties et les détails techniques c'est très inspiré de ce que je vis au quotidien. Quoique je n'ai jamais été en conflit avec mes parents à cause de ça |
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| Sujet: Re: Esprit d'équipe | |
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