[Challenge]Famille Gauthier

Voici le couple Gauthier, un couple heureux en perspective, un couple formé de deux jeunes gens venant à peine de sortir du lycée, un couple qui s’aime tout simplement. Abigaëlle est un futur médecin légiste, son plus grand souhait est de devenir profileuse d’ADN dynamique. Ludovic est un écrivain plein d’ambition, un artiste en herbe. Son rêve est de gagner 4000§ par semaine de droits d’auteur.

Maintenant que les présentations sont faites, il est temps de travailler.
Abi: J'y cours, j'y vole!
Quel enthousiasme ! (je suis contente, j’ai réussi à capturer la foulée d’Abigaëlle bien comme je voulais :yahoo3: )

Abi: Au commissariat de police, s’il vous plait.
Chauffeur: Tout de suite, madame.

Pendant que notre Abigaëlle « vole » au commissariat, notre écrivain en herbe essaye le nouvel ordinateur, et ça n’a pas l’air de lui déplaire.

Abi: Allez, on respire, et on affiche le sourire !
Ouais allez Abi ! C’est toi la meilleure !

Alors ?
Abi: Je suis prise ! Pour l’instant, je suis indic.
Ah mais c’est cool ça !

Tu vas où comme ça ?
Abi: A la bibliothèque. J’ai envie d’apprendre un peu les bases de la logique.
Soit. Amuse-toi bien !
Abi: Merci ! En fait, tu m’as pas dit ton prénom.
Appelle-moi simplement Fran’.
Abi: OK !

Abi: Alors… Bricolage… Jardinage… Logique ! Ca y est, j’ai trouvé mon livre.

Abi: Allons-nous installer…

Abi: Hmm… Très intéressant ce bouquin.

Pendant que notre policière bouquine, Ludovic l’artiste se lève de sa chaise. Mais que se passe-t-il ? Pourquoi abandonne-t-il son ordinateur ?

Lud: Ludovic Gauthier.
Dan: Danielle Platt, enchantée.
Ah, juste une voisine. Rien de grave. Enfin, pour l’instant…

Lud: Ludovic Gauthier.
Mim: Mimi Olivia.

Mim: Vous êtes nouveau dans le quartier, n’est-ce pas ?
Lud: Oui, je viens d’arriver avec ma femme.

Mim: Oui, bien sûr. Cela trahirait mon sens inné du suivi de l’actualité. Voyez-vous, dès qu’il se passe quelque chose en ville, je le sais à la minute près. C’est fabuleux, n’est-ce pas ?

Lud: Euh… Oui bien sûr. Mais, voyez-vous, je déteste les filles prétentieuses comme vous.

Mim: Prétentieuse, moi ? Ma parole, vous êtes un véritable imbécile !

Lud: Parce que vous n’en êtes pas une, peut-être ? Faudrait vous apprendre la politesse, ça vous ferait pas de mal !

Lud: Allez, ouste ! Disparaissez de ma maison !

Lud: Jamais vu une fille aussi impolie. Elle m’a donné mal à la tête, en plus.

Après sa dispute, notre apprenti artiste décida de commencer son premier roman, une non-fiction intitulée « Comment reconnaître une diva ».

Abi: Alors, mon chou, ta journée ?
Lud: Super. A part une voisine prétentieuse.
Abi: Oh, tu sais, ça arrive. Cet après-midi sans toi a été trop longue… Je t’aime tant…

Abi: Ce que c’est bon d’être dans tes bras…

Lud: Je t’aime Abigaëlle.
Lud: Moi aussi, je t’aime, Ludo.

Pendant que Ludovic continue son roman, Abigaëlle s’attaque à la préparation du dîner : des macaronis au fromage.

Abi: Ca te dirait, une sortie chez Mick, ce soir ?
Lud: Bien sûr, chérie. Comment refuser une proposition venant de toi ?
*************
Voici quelques images de la sortie chez Mick de nos deux amoureux.

Le photomaton…

… et bien sûr le karaoké.

Et c’est ainsi que notre couple se coucha vers 2h du matin.

Fin de l'épisode 1.
Jour 2

Le lendemain, Abigaëlle fut la première levée pour son travail, même si elle aurait bien dormi quelques heures de plus.

Et après une bonne douche…

...elle dut partir travailler sans manger.
Abi : Bonjour, Mme Garcia.
Gar : Bonjour, Mme Gauthier.

Notre Abigaëlle est partie pour son premier jour de travail en tant qu’indic, on espère qu’elle gravira vite les échelons.

C’est dans les environs de 10h30 que Ludovic se leva.

Lud : Ah ! J’ai faiiim !
Oh, Ludovic, calme-toi, imagine ta femme qui n’a rien mangé et qui va devoir avaler la nourriture infecte du boulot.

Lud : Ah, ça fait du bien de manger son petit-déjeuner.
Petit-déjeuner à midi, c’est original quand même.

Après son « petit » déjeuner, Ludovic s’attela à des taches beaucoup moins drôles : les factures :ranting: !

Et après ces 86§ en moins, notre artiste décida de travailler sur son livre.

Lud : Blurp…
Tiens, que se passe-t-il ? Ludovic serait-il enceinte ?

Pendant que l’homme de la maison rejette son petit déjeuner, Abigaëlle rentre du travail malheureusement sans promotion.

Et la première chose qu’elle fit fût de se coucher pour rattraper ses heures de sommeil en retard.

Et Ludo était toujours sur son livre.

De son côté, Abigaëlle préparait le dîner : encore et toujours des macaronis au fromage.

Abi : Alors, chéri ? Ton livre, il avance ?

Lud : On peut dire ça, j’ai bientôt terminé, encore quelques pages et c’est bouclé.

Les photos d’hier soir ont été accrochées. Je trouve les deux amoureux superbes, pas vous ?

Rongé par le stress de l’écriture, Ludo se résigne à la télévision, histoire de déstresser.

Mais par contre, ça vaut le coup de délaisser la télé pour s’adonner à des choses plus intéressantes…

Lud : (chuchotant) Psst psst…
Abi : (chuchotant) OK. (à haute voix) Fran’, tu peux nous laisser s’il te plaît ?
Roh, ça va, j’ai compris.

Après avoir fait preuve de son amour pour sa femme, Ludovic, qui s’était bien amusé, continua son livre.

Et c’est dans la poche ! Ce livre est un succès, il lui rapporte 47§ par semaine de droits d’auteur.

C’est ainsi qu’il rejoint sa femme vers 00h30.

Fin de l'épisode 2.
Jour 3

Mardi, 6h30. Notez la parfaite synchronisation matinale de notre couple.

C’est Ludovic qui fait le lit pendant que sa femme se prépare.

Euh… Il y a un problème là. Le covoiturage d’Abi arrive dans une demi-heure, et vous vous vous embrassez ? Rah les jeunes je vous jure…( )

Franchement, s’embrasser encore, ça va. Mais là, je trouve que ça va un peu loin quand même.

Tiens, où vas-tu, Ludovic ?
Lud : En ville. Il y a un concours d’artistes, j’aimerais y assister.
Amuse-toi bien !

Ludovic est arrivé au parc, et la première candidate est déjà sur scène. Vous avez vu le monde qu’il y a ?
[align=center]*****[/align]
Photos du spectacle:

La chanteuse…

Ludovic pendant le spectacle de la chanteuse…

La magicienne…




L’acrobate…



Abi : Chéri, tu veux pas qu’on rentre ? Je me sens nauséeuse, et si il faut vomir, je préfère que ce soit à la maison qu’ici.
Lud : Si tu veux, ma chérie. J’en ai vu assez comme ça.

Arrivés à la maison, Abigaëlle se met au dîner, des macaronis au fromage.

Pour rattraper le temps perdu, Ludovic commence un roman de science-fiction : le retour de Chewbacca.

Tiens, les nausées. T’inquiète pas, c’est rien, t’as dû mal manger au bureau.
Abi : Sans doute… Blurp…

Lud : Chérie, ça va aller, tes nausées ?
Abi : Mouais .

Lud : Tu pourrais répondre, au moins.
Abi : Oui oui.
Lud : OK, si mademoiselle ne veut rien dire, je vais laisser mademoiselle.
Abi: Roh c'est bon...

Sur ce, Abigaëlle se mit au lit. Elle se demande ce qu’il se passe avec ses nausées, car elle avait dû retourner vomir entre-temps. Et cette fois, c’est pas la nourriture du boulot. Pendant ce temps, Ludovic, pas fatigué du tout(bug?) se livrait à des activités (beaucoup) moins sages… Mais quoi ?
Fin de l'épisode 3.
Jour 4-Surprise!

Ayant réfléchi aux conditions de vie de lui et de sa femme et aux causes de ses nausées, Ludovic décida de pirater. Décision certes pas très sage, mais qui au moins permettrait de rapporter de l’argent qui pourrait être très utile. Il y passa toute la nuit, jusqu’au réveil d’Abigaëlle.

Abi : Déjà levé, mon chéri ?
Lud : Euh… En fait non pas couché.
Abi : Mais qu’est-ce que tu as fait pendant la nuit ?
Lud : Je… J’ai écrit.
Abi : Ah, super.

Sa femme étant partie au travail, Ludovic décida de dormir un peu en attendant son retour.

Mais il risque d’avoir une surprise : en arrivant au commissariat, Abigaëlle découvrit qu’elle était enceinte.

Abi : J’ai tellement hâte de lui annoncer…

Arrivée à la maison, elle vit qu’il dormait et, n’ayant pas mangé, elle s’attaqua à la préparation de gaufres pour le petit-déjeuner.

C’est à ce moment là que Ludovic se leva. Sentant l’odeur de gaufres et pensant plus à son petit déjeuner qu’à sa femme, il pénétra dans la cuisine sans se poser de questions.

C’est à table qu’il se rendit compte de la bizarreté de la chose. Sa femme était là, au lieu d’être au travail, et elle portait d’affreux vêtements de grossesse !
Lud : Chérie, qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu es malade ?
Abi : Roh non, je suis simplement enceinte.
Lud : Oh mais c’est super ! Tu te rends compte ? On va avoir un petit bébé !

Lud : C’est qui le petit boud’chou à son papa ? C’est qui qui ?

Les futurs parents décidèrent de se rendre à la bibliothèque pour lire des livres sur la grossesse.

Mais quand Ludovic aperçut les ordinateurs, il ne pût s’empêcher de se jeter dessus et d’écrire quelques chapitres.

Mais Abigaëlle, elle, ne manqua pas à son devoir de bonne future mère.

Après plusieurs heures de lecture et d’écriture, le couple rentra à la maison.
Lud : Pendant que tu lisais tes livres, j’ai vu sur l’ordinateur des annonces : certaines personnes proposent d’adopter des chiots ! Ca te dirait ?

Abi : C’est-à-dire que…

Lud : S’il te plaît…

Abi : Bon, soit. Mais après la naissance du bébé.
Lud : Oh merci merci merci…
Abi : Eh, t’emporte pas non plus.

Pendant qu’Abigaëlle préparait le dîner, Ludovic continua son livre.

Lud : Chérie, je voudrais te remercier d’avoir accepté pour le chien.
Abi : Oh mais c’est rien. Après réflexion, je pense que ça plairait au bébé d’avoir un animal.

Abi : Tiens, un cadeau. Je me demande ce que ça peut être…

Le cadeau était en fait le livre "Reconnaître une diva de Ludovic", qu’elle s’empressa de commencer à lire…

…avant de s’endormir.

De son côté, Ludovic finit son livre. Et devinez quoi : le Retour de Chewbacca est un best-seller ! Une bonne nouvelle pour la suite.

Puis il se coucha, fatigué par les évènements de la journée.
Fin de l'épisode 4.
Jour 5-Journée de grossesse

Le lendemain matin, Abigaëlle prépara les gaufres du petit déjeuner.

Lud : Alors, comment se passe ta grossesse ?

Abi : Très bien. Quelques maux de dos de temps en temps, mais sinon tout va pour le mieux.

Pendant que Ludovic payait les factures…

…Abigaëlle lisait le livre du Ludovic.

Lud : Fo**us toilettes !
Roh c’est bon Ludo, encore tu les aurais pas cassés toi-même, je comprendrais, mais là t’exagères quand même.
Lud : Ta gu**le Fran’.
Eh, fais pas trop la tête, je te rappelle que ta femme est enceinte et qu’elle peut accoucher d’une minute à l’autre !

Après sa dispute avec les toilettes, Ludovic commença un roman dramatique.

De son côté, Abigaëlle se rendit à la galerie d’art pour faire de nouvelles rencontres.

Mais elle déboucha dans une pièce où il y avait des chevalets. Elle les essaya donc immédiatement.
Et voici la première toile d’Abigaëlle. On peut en tirer 3 simflouz.

Abigaëlle vit aussi une célébrité. Elle s’empressa de l’impressionner.

Et c’est dans la poche. Regardez, elle touche même son ventre.

C’est célèbre qu’Abigaëlle rentra à la maison.

Affamée, elle s’attaqua immédiatement à la préparation du dîner.

Lud : Chérie, tes hot-dogs sont délicieux.
Abi : Merci, mon chéri. Et ton livre était super.

Et après une bonne douche…

… Ludovic et Abigaëlle se couchèrent.

Fin de l'épisode 5.
Jour 6/Accouchement surprise

Le lendemain matin, Abigaëlle se leva tôt pour préparer le petit déjeuner.

Pendant ce temps, Ludovic écrivait.

Abi : Ludoviiiiiiic !
Lud : Oui, chérie ? Le repas est prêt ?
Abi : Mais non, idiot ! Le bébé arrive !

Lud : Et je fais quoi, moi ?
Abi : (esquissant un petit sourire) Commence par m’emmener à l’hôpital, ça sera pas mal.

Abi : Quand même, t’aurais pu d’abord penser au bébé.
Lud : Roh c’est bon, je peux pas être parfait.
Abi : Oui, mais pas à ce point, quand même.

Et voici notre couple qui rentre de l’hôpital. Devinez quoi : Abigaëlle a eu des triplés(alors que j’avais tiré deux enfants…) !

Voici Cerise…

...Leïla...

...et Benjamin.

Et c’est papa qui donne son premier biberon à la petite Cerise.

Abi : Quand même, des triplés, je ne m’y attendais pas !
Lud : C’est sûr. Ton ventre était plus gros que la normale, d’accord, mais bon.

Après le repas, Abigaëlle s’adonna à la corvée de lessive.

Puis ce fût l’heure du repas à la nurserie.

Abi : Roh, la lessive… J’en ai marre de faire que ça, moi…

Abi : Ah… Ca fait du bruit en plus !

Heu, Abigaëlle, tu fais quoi là ? Ne me dis pas que tu te fais une beauté alors que tu as 3 bébés et un mari ?
Abi : Et si, Fran’. J’ai envie de me couper les cheveux.
Bon, soit. J’ai hâte de savoir ce que ça va donner.

Hou, Leïla, tu cries drôlement fort dis donc. Elle va pas aimer ça maman.

Abi : C’est qui mon petit bébé qui vole dans les airs !
Leï : Ga.
Tiens, un son est sorti de la petite bouche de bébé de Leïla. A croire qu’elle sera bavarde.

Si Abigaëlle fait voler sa fille, Ludovic semble vouloir manger son fils !
Lud : Bah quoi, il est tellement chou… Gouzi gouzi mon bébé !

Par contre, pas d’excentricités avec Cerise. Sa môman se contente de la serrer contre elle. N’est-ce pas trop mignon ?

Après le repas, le couple Gauthier se coucha, fatigué par ses péripéties de la journée.
Fin de l'épisode 6.
Jour 7-Aventures avec des triplés

Ah, Leïla, crie pas si fort, tu vas réveiller tes parents !
Leï : Ouiiiiiiiiiin !

Ah, apparemment, c’est déjà fait.

Abi : Là ma petite puce, maman est là.

Par ses pleurs, Leïla la coquine a réveillé non seulement ses parents, mais aussi ses frères et sœurs. Conclusion, papa Ludo se jette sur son fils, premier membre officiel de son équipe de foot.

Après les câlins, Ludovic va faire la lessive en bon papa poule.

Puis le couple , fatigué, se recoucha.

Abi : (grognant) Ludo, qu’est-ce qui t’a pris de lancer une machine alors qu’on allait se recoucher ?
Lud : Bah, je sais pas moi. J’ai vu tout le linge sale, alors j’ai lancé une machine.
Abi : N’importe quoi…

Après la sieste, Ludovic alla changer sa fifille.

Et Abigaëlle son fifils.

Abi : Fran’, j’en ai marre ! Je l’ai changé, je l’ai nourri, et il pleure encore !
Tu lui as fait un gros câlin ?

Ah bah voilà, c’est un câlin qu’il lui fallait. Un gros câlin de sa môman.
Lud : De la meilleure maman du monde.
Abi : Ludovic, arrêtes, tu me flattes trop…

Abi : Allez, maintenant on fait un gros dodo.

Pour rattraper le temps perdu, Ludovic se remît sur son livre après le repas.

Abi : Bonne nuit, ma petite Cerise. Fais de beaux rêves…

Après avoir étendu le linge, Ludovic alla donner le biberon aux nourrissons. D'abord Leïla...

…puis Benjamin. Cerise avait déjà mangé.

Puis le couple se coucha.

Vers minuit et demie, un appel téléphonique réveilla Ludovic.
Fin de l'épisode 7.
Jour 8/ Ménage et écriture

Après son appel, Ludovic, entendant les pleurs de ses enfants, se précipita dans leur chambre pour s’occuper d’eux.

Puis il retourna sur son ordinateur. On l'avait appelé pour une commande d'un livre en échange de célébrité ET de simflouz. Ludovic avait, bien sûr, accepté sans hésitation.

Abi : C’est qui mon bébé qui a fait caca ? C’est Benjamin !

Abi : Tiens mon chéri, je savais que tu avais faim.

Ouh petite Cerise, t’es pas un peu jeune pour crier si fort ?

Tu trouves pas, toi, qu’elle crie un peu fort ?
Abi : Bah non, elle a faim mon bébé.
1-0 pour Abi.

Abi : Fichu évier bas de gamme !
Abigaëlle… Il est usé mon évier.
Abi : Tu compares un bébé à un évier maintenant ?
2-0 pour Abi.
Dis, ça fait combien de temps que tu t’étais pas lavé les dents ?
Abi : Depuis que je me suis installée ici.
Beurk ! Ca fait au moins une semaine !
Abi : Toi, tu te les laves jamais.
Normal, j’ai pas de dents. Je suis juste une voix, un esprit. Je suis votre conscience à vous tous. La conscience des Gauthier.
Abi : 2-1 pour Abi.

Décidément, tu t’arrêteras jamais. Abigaëlle, femme au foyer active…
Abi : Stop Fran’, arrête maintenant.

Et en plus, tu continues ! Ca va te changer de reprendre le travail.
Abi (l’ignorant) : En fait, il fait quoi Ludo ?
Ludo ? Il roupille.
Abi : Comment ça il roupille ? Ludoooo !
Aïe, Ludovic va passer un mauvais quart d’heure…

Lud : Qu’est-ce qu’il y a, chérie ?
Abi : Tu pourrais pas m’aider un peu, au lieu de dormir ?
Lud : Oui oui, je mange un morceau et j’arrive.

Ludovic, tu es enceinte ?
Lud : Ah ah ah très drôle Fran’, c’est la deuxième fois que tu me la fais celle-là.
Bon, d’accord, j’arrête.

Heu, Abigaëlle, qu’est-ce que tu fais par terre ?
Abi : C’est pas moi, c’est la commode, elle voulait pas s’ouvrir.

Alors ?
Abi : Rien à signaler. Tout va très bien.

Heu, tu vas où ?
Abi : A la librairie, acheter un livre de logique.
Cool.

A peine rentrée, la belle Abigaëlle prépara des spaghettis bolognese.

Abi : Je n’en reviens pas, Ludo. Demain, c’est déjà l’anniversaire de nos enfants. Ca passe tellement vite…
Lud : Oh oui. J’ai encore dans ma tête le moment où je touchais ton ventre tout rond…
Abi : Oh, m’en parle pas.

Après ce très bon dîner, le couple se coucha, impatient de voir ses enfants grandir.

Fin de l'épisode 8
[urlhttp://www.forumsims3.com/famille-gauthier-t9062-30.html#p199930]Jour 9/ Anniversaires et accouchements[/url]

Bonjour Abigaëlle ! Alors, bien dormi ?
Abi : Super. Tu te rends compte, mes bébés grandissent !
C’est vrai, c’est cool. On va enfin voir leurs bouilles.

Que la fête commence ! C’est Benjamin qui a l’honneur de grandir en premier.

Le voici bambin. Il avait été couché immédiatement car il était fatigué. Bah oui, quoi, ça fatigue de grandir !

Et voici Cerise…

Et enfin Leïla.

Ah, à peine son anniversaire fêté, la petite Leïla manifeste son caractère ! C’est pas la peine de crier, si ça rentre pas, c’est que c’est pas le bon trou.
Leï : Ba ba tou !
Faudrait songer à leur apprendre à parler, sinon je vais pas tenir longtemps.

Abigaëlle, j’ai dit apprendre à PARLER, pas apprendre à MARCHER !
Abi: Roh c’est bon, je lui apprends ce que je veux à ma petite. Hein ma puce ?
Leï: Ma !
On a un début de « maman », c’est déjà ça.

Abi : Ludovic, j’ai une surprise pour toi ! Je me suis renseignée sur internet, et j’ai vu qu’il y avait des annonces pour l’adoption de chiens ! Conclusion : le petit Doudou va bientôt arriver, plutôt dans l’après-midi.

Lud : Oh mais c’est super ça ! Un petit toutou à la maison ! Franchement, merci chérie. Tu ne peux pas imaginer à quel point ça me rend heureux.
Abi : Oh mais c’est naturel. Moi aussi ça faisait longtemps que j’avais envie d’un animal.

De leur côté, les bambins, peu préoccupés par la discussion des grandes personnes, prenaient part à leur discussion à eux :
Leï : Ba, ti ro la !
Cer : Cou !
Ben : Bêh, gaga !

Alors que Ludovic et Abigaëlle discutaient toujours de tout et de rien, un inconnu fît son apparition dans la nurserie.
Inc : Bonjour, Madame Gauthier.
Abi : Bonjour. Vous devez être Lazare Taurot, l’employé du refuge ?
Laz : Oui, c’est bien moi. Je viens vous apporter votre chiot.
Abi : Oh, merci !

Abi : Alors, il est pas trop choubidou mon Doudou ?
Mais si il est choubidou. Hein, Doudou, que t’es choubidou ?
Dou : Wouaf ! Wouaf !

Oh oh, ça barde dans la nurserie. Abi va pas être contente, j’imagine.
Cer : Min La fa !
Oui, chérie. Benjamin et Leïla ont faim.
Cer : Ri auki fa !
Petite coquine, va.(traduction: Cerise aussi a faim!)

Les bambins furent immédiatement mis à table, car non seulement ils avaient faim, mais ils étaient également épuisés. Leïla prend le temps de goûter son plat, mais ses frères et sœurs semblent attendre son verdict pour se décider.

Cer : Ma ! Pa do !
Abi : Si, chérie. Il est très tard. Cerise est fatiguée, et maman aussi est fatiguée. Donc Cerise va faire un gros dodo, et maman aussi.
Cer : Ma do ?
Abi : Oui, ma petite puce. Maman va faire dodo.
Cer : Hi hi hi !

Sur ces mots, Doudou s’endormit pour la première fois chez les Gauthier pendant que ses maîtres allaient se coucher.

Fin de l'épisode 9.
Jour 10/ Apprentissages

Le lendemain, Doudou fût le premier levé, avec grand besoin de destruction. Bah dis donc, ça va pas plaire à Abi, ça. Surtout qu’elle reprend le travail aujourd’hui.

Et même si c’est Abigaëlle qui reprend le travail aujourd’hui, c’est Ludovic qui se lève le premier.

Alors, Ludovic, ton « plan » pour la journée ?
Lud : Oh, on va passer par les phases d’apprentissage en tout genre.
Mouais . Avec un peu de chance, ce soir, on pourra leur faire la conversation.

Mais avant d’apprendre tout plein de choses, faut bien manger ! N’est-ce pas, Abigaëlle ?
Ben : Min faim ! Faim !
Abi : Oui mon grand. Maman va te donner à manger, comme ça tu seras en pleine forme pour toute la journée !
Ben : For ! Min for !

Après avoir auparavant essayé le jeu d’éveil, Leïla se résigna au jeu avec une belle poupée, qui devînt immédiatement son jeu préféré.

C’est le petit Benjamin qui débute les phases d’apprentissage. Le petit chou ne marche pas encore à la perfection, mais au moins il se tient debout tout seul, c’est déjà ça.
Lud : Allez, viens voir papa mon loulou !
Ben : Pa ! Lou pa !

Pendant ce temps, Abigaëlle…
Abi : Fraaaan’ !
Qu’est-ce qui te prend de me couper la parole comme ça ? J’ai une histoire à faire, moi. Donc, je disais…
Abi : Fran’, j’ai eu une promotion !
Hein ?Quoi ? Toi ? Une promotion ? Laisse-moi rire ! T’as toujours ton costume ridicule !
Abi : Je suis sérieuse. Je suis gratte-papier, maintenant. Demande à ma patronne, si tu veux.
Roh, c’est bon, hein…

Dès son retour, Abigaëlle se jeta sur sa fille pour commencer l’apprentissage de la marche. Je trouve Cerise craquante sur la photo, pas vous ?

Après le repas des enfants, Ludovic coucha son fils, fatigué.
Lud : Fais de beaux rêves Zidane.
Ben : Mo Didane !
Lud : Oui, mon grand. Allez, fais dodo maintenant.

Les autres bambins furent aussi couchés rapidement. Leïla…

Puis Cerise…

Et enfin Benjamin.

Lud : Alors, tu as passé une bonne journée, ma chérie ?
Abi : Oui, super. J’ai même eu une promotion !
Lud : Oh mais c’est génial ça. De mon côté, j’ai essayé d’apprendre à marcher à Benjamin, mais sans succès.
Abi : C’est pas grave, j’essaierai ce week-end, on verra ce que ça donne.

Sur ce, Doudou, qui avait passé la journée à machouiller des objets en tout genre(et qui a d’ailleurs acquis le trait de caractère destructeur), se coucha dans son panier.

Et le couple Gauthier en fit de même de son côté, dans leur toute nouvelle chambre construite au nouveau 1er étage.
Fin de l'épisode 10.
Episode 11

En raison d’un bug dans mon jeu avec la coiffure de Leïla(elle s’était transformée en Benjamin, si si en Benjamin), j’ai dû la relooker. Donc voici la nouvelle Leïla.

Bah alors, qu’est-ce que tu fais ma puce ? Deux heures du matin et tu dors toujours pas !
Leï : Doi !
Oui, il est beau ton doigt ma chérie.

Roh, Doudou, arrête maintenant !
Dou : Wouaf !
Bon OK, c’est la dernière fois.

Abi : Fran’, je peux te demander un service ?
Bien sûr. Qu’est-ce qu’il y a ?
Abi : Tu peux dire à Ludo qu’il s’occupe des enfants ? Je les ai entendus pleurer pendant que je prenais ma douche.
Pas de problème!

Ludo, j’ai un message de la part de ta femme.
Lud : Qu’est-ce qu’elle a ?
Alors, déjà, tu parles pas comme ça, naméoh !
Lud : Oh, c’est bon. Allez, accouche.
Elle veut que tu t’occupes des triplés.
Lud : J’y allais.
Bah je pouvais pas le savoir !
Lud : Tu crois que je vais dans leur chambre pour les regarder pleurer ?

Lud : Coucou, ma Leïla adorée !
Leï : Pa !
Lud : Coucou, ma Leïla adorée !
Leï : Pa !

Leï : Ouiiiin !
Ourf, faudrait aller chez le médecin vérifier que les cordes vocales sont normales, parce que là, c’est exagéré quand même. Z’avez de la chance de pas être à côté ( :angelnot: )

Cer : Ouiiin !
Qu’est-ce qu’il y a, Cerise ? T’es la seule à avoir déjà mangé et t’es la seule qui pleure ! C’est bizarre, vous trouvez pas ?

Cer : Da !
Ah, bah c’est mieux tout de même.

Allez on y va ma chérie, je suis sûre que tu peux y arriver.

Ouais ! Bravo mon cœur.

Cer : Vo Cerise !
Ce qu’elle est choute.

Alors, Ludo, ça fait du bien une douche ?
Lud : Oh oui Fran’… Fran’ ? Quoi ? T’es là ? Sors d’ici tout de suite !
Ah je t’ai bien eu !
Lud : Ne refais plus jamais ça !
Pff, Abi elle dit jamais rien.

Lud : Oh me*de ! C’est quoi cet ordi ?
Calme-toi Ludovic. Je ne vois qu’une solution : le réparer.

Lud : Le réparer ? Mais t’es folle ou quoi ? J’ai beaucoup trop faim pour ça.
Morphale !

Abigaëlle, cette nouvelle coupe te va à ravir.
Abi : Et encore, celle-là c’est que pour le travail.
Quoi ?

Allez, sois sympa, montre-moi ta coupe normale !
Abi : Non, Fran’, on attend d’être à la maison.
Pff t’es pas drôle…

Abi : Et voilà !
Tu es magnifique Abigaëlle. Belle comme une fleur.
Abi : Merci Fran’.

Abi : Oui allo ?

Abi : Sans problème ! Je passe demain, vers 15h30, si ça vous va.

Après cette conversation téléphonique, Abigaëlle essaya d’enseigner les rudiments du langage à Leïla, même si ce n'est pas toujours facile...

Pendant ce temps, Ludovic réparait(enfin !) son ordinateur.

Lud: Ouf!
Enfin, tu peux écrire ! Chose que tu n’avais pas faite pratiquement depuis la naissance des triplés, d’ailleurs.
Il était temps de s’y remettre…

18h30. Abigaëlle s’active aux fourneaux.

Chuut calme-toi ma Cerise. Papa va te donner à manger, mais tu as des frères et sœurs il peut pas tout faire en même temps tu sais.

Et ça y est, tous les bambins sont à table, je t’avais dit que t’allais avoir à manger Cerise.

Humm, quand j’y pense, cette paparazzi est vraiment bizarre. Elle est là depuis l’après-midi et elle est en admiration devant un des piliers de la maison.

Après avoir couché les triplés, c'est un couple fatigué qui se coucha. Abigaëlle et Ludovic étaient épuisés par le changeage de couche à longueur de journée. Espérons qu'ils s'y habituent rapidement...
Fin de l'épisode 11.
Episode 12

Bah, Ludo, qu’est-ce qu’il t’arrive ?
Lud : Vois plutôt par toi-même.

Ah, oui, je vois. Doudou a fait du bon boulot.
Lud : Il y en a pour 450 simflouz pour le remplacer.
Ah, ouais. Faudra lui acheter des jouets à machouiller.
Lud : Chais pas… Je vais demander à Abigaëlle.

Lud : Bon, écoute mon chéri. Je suis gentil, je ne te gronde pas trop. Mais la prochaine fois que tu feras des bêtises, je te gronderai fort fort fort et tu seras puni. Tu as compris ?
Dou : Wouaf !
Lud : C’est bien mon chien.

Lud : Chérie, Doudou a complètement détruit le canapé.
Abi : Et alors ? Il a l’air tout neuf là.
Lud : C’est parce que je l’ai remplacé pour 450§. Mais bref, je pense que ça serait mieux de lui acheter des jouets à machouiller.

Abi : Ecoute Ludo, je vais être claire. C’est toi qui as tenu absolument à avoir absolument un chien, donc si il y a des problèmes avec, c’est toi qui gère toutes les dépenses liées. Les 450§, tu les avais, au moins ?
Lud : Oui ne t’inquiète pas. Donc j’achèterai avec MON argent les jouets pour Doudou.
Encore une discussion close sans hausser le ton. J’avoue que je les aime bien les deux, ils savent très bien s’entendre et ne se disputent jamais. Ils sont vraiment faits l’un pour l’autre.

Tiens, une petite Leïla qui se réveille. (j’adore ce plan !)

Et un petit Benjamin qui hurle. Abigaëlle !!!
Abi : Oui Fran’ ?
C’est Benjamin qui nous montre ce qu’il sait faire avec ses cordes vocales !
Abi : J’arrive !

Abi : Coucou mon loulou ! Ah bah oui, je comprends pourquoi tu pleures si fort, t’as fait caca dans ta couche mon chou !

Ouh, on sent la jalousie profonde dans le regard de Leïla : « Pourquoi tu t’occupes de lui et pas de moi, maman ? » se dit-elle dans sa tête.

Mais heureusement, super-papa est là !
Lud : Chut ma chérie, ne pleure pas, papa est là.
Leï : Pa !
Lud : C’est presque ça : papa !
Leï : Papa !
Lud : Oh tu as vu ? Elle a dit papa !

Et pour une fois, ce n’est pas Cerise la première servie, mais bel et bien Leïla.

Doudou s’est précipité sur son os à machouiller, et ça a l’air de lui plaire, mais pas trop à Ludovic : le couinement du jouet lui donne tellement mal aux oreilles…

Lud : Tiens mon grand.
Ben : Miki !
Lud : On dit merci.
Ben : Merci !
Lud : C’est bien mon chou.

Alors, Cerise, c’est bon le biberon ?
Cer : Ta !
Ouh ça a l’air bon.
Cer : Vi c’est bon.

Abi : A tout à l’heure les enfants ! Maman part travailler, restez sage avec papa.
Leï : Leur maman !
Ben : Sage papa !

Abigaëlle ? Déjà sortie du travail ? Et c’est quoi cette tête ?
Abi : Je t’expliquerai plus tard…

Abi : Aaaah ! Ludoviiiic !
Fin de l'épisode 12.
Episode 13

Retour sur la dernière scène de l’épisode précédent.

Abi : Aaah ! Ludoviiic !
Lud : Mmh qu’est-ce qu’il y a ?

Abi : Comment ça qu’est-ce qu’il y a ? Tu te fous de moi ? On a remplacé le canapé ce matin, Doudou l’a re-détruit et je te retrouve, peinard, en train de regarder la télé !
Lud : Rooh c’est bon…

Abi : Non c’est pas bon ! C’est ça que tu comprends pas ! J’en ai marre d’avoir la maison la plus sale du quartier !

Lud : Hey cool Abi. Déjà, pourquoi tu es rentrée si tôt du boulot ?
Abi : Et bien, j’ai reçu un coup de fil de la voisine qui me disait qu’elle avait entendu des cris à la maison. Alors, je me suis précipitée ici.
Lud : Oh, je vois. Elle voulait parler des cris de Leïla lorsque Doudou lui a aboyé dessus. C’est bon, maintenant ?

Après cette phrase anodine, Ludovic se jeta dans les bras d’Abigaëlle et l’embrassa. Séduite, Abigaëlle se rendit compte qu’elle avait exagéré et se laissa faire. Encore une preuve que nos deux tourtereaux sont faits l’un pour l’autre.

Ils allèrent même s’asseoir ensemble au fond de la salle à regarder leurs enfants jouer. Après quelques instants magiques passés en famille, ils décidèrent d’un commun accord d’apprendre à parler à leur progéniture.

Mais le cœur n’y était pas pour Leïla qui se mit à pleurer de toute la puissance de ses cordes vocales.

Mais heureusement, super-maman est là !

Mais il se faisait tard, et Abigaëlle dut se résigner à préparer le repas.

Leï : Ta ta ta ta ta !
Oh la la ma Leïla, tu t’agites dis donc. Ne t’inquiète pas, papounet arrive avec le biberon.
Leï : Pa biron !

Ben : Da pi to ra !
Leï: Ga!
Je sais pas si vous avez compris ce qu’ils se sont dit, mais en tout cas moi j’ai rien compris !

Nous voici à la table des bambins.
Cer : Bon biberon ! Miam !
Tu m’étonnes que c’est bon le biberon.

Je vous prie de noter la parfaite synchronisation au moment du coucher. Ils étaient fait pour avoir des triplés ces deux-là, c’était dans les gênes.

A la sortie de la nurserie, Ludovic reçut un appel mystérieux. Mais vous n’en saurez pas plus sur sa provenance et son objet.

Pendant que Ludovic était sous la douche, Abi couchait Leïla.
Abi : Bonne nuit ma belle, fais de beaux rêves.
Leï : Man dormi avec moi !
Abi : Non ma chérie, ce n’est pas possible. Maman va dormir avec papa, un point c’est tout.
Leï : Nul !

Lud : Ma chérie, je voulais te parler de quelque chose en privé. Fran’ tu peux sortir s’il te plaît ?
Bon d’accord je m’en vais, mais z’êtes pas cool hein.

Après cette discussion « privée », le couple s’endormit serein.
Fin de l'épisode 13.
Episode 14/C'est la fête!

Salut Benjamin ! Ca va mon cœur ?
Ben : Vi ! T’as vu mon doigt ?
Oui j’ai vu ton doigt ; il est très beau.
Ben: Mici hi hi hi!

Abi : Bonjour Fran’. Enfin le week-end ce soir, j’en peux plus. Surtout que Ludo m’a dit qu’il avait organisé une fête ce soir à la plage, j’ai hâte.
Une fête ? Cool !

Ludovic a repéré un chien errant, et il fait connaissance avec lui.
Lud : Coucou mon toutou ! Ca gaze ?
Chien : Grrr…
Pas très commode, le chien.

Cer : Daaaa !!! Veux papaaaa !!!
Calme-toi ma belle, papa arrive.

Bah tu vois, c’était pas la peine de crier si fort.

Leï : Ouiiin ! Veux papa aussi ! Méchant pas beau papa !! Na !

Chuut… Sèche tes larmes ma chérie, papa arrive bientôt.
Leï, reniflant : Méchant papa.(franchement j'adore ce plan, c'est vraiment trop chou)

Ben : Hé moi aussi je veux papa ! Chant papa ! Chante Rise !
Hou tu es jaloux Benjamin.
Ben : Nan pas jaloux Benjamin.

Lud : Calme-toi ma belle, je ne t’abandonne pas, papa est là pour veiller sur toi.

Lud : Youpiii ! Tu voles mon grand !
Ben : Ai peur !
Arrête Ludo, tu lui fais peur.
Lud : Mais non il a pas peur. Il est courageux mon Benjamin, pas vrai ?
Ben : Vi ! Courageux Benjamin, hi hi hi !

Après que Ludovic ait nourri et nettoyé la maisonnée, la baby-sitter des bambins pour la fête de ce soir arriva.
Lud : Bonjour mademoiselle. J’imagine que vous savez ce que vous avez à faire ?
Bab : Oueche z’inquiétez pas, j’ai l’habitude des gosses en grand nombre.
Lud : Très bien, je vous laisse, mais n’employez pas ce genre de langage devant mes enfants, c’est clair ?
Bab : Très clair.
Lud : Bien. Au revoir.

A la plage…
Lud : Tu es splendide Abigaëlle.
Abi : Toi aussi Ludo. Je t’aime tu sais.
Lud : Moi aussi je t’aime.

Abigaëlle aperçut son partenaire de bureau, et s’empressa d’aller le saluer.
Abi : Bonjour Evan ! Ca va depuis tout à l’heure ?
Evan : Oui et toi ?
Abi : Super !

Vers 21h, les invités passèrent à table. Apparemment, Evan ne va pas avoir de très bonne nourriture, si l’on en croit la flamme qui envahit sa brochette de chamallow.

Après le dîner, les invités partirent. Mais Abigaëlle et Ludovic ne purent s’empêcher de chanter quelques notes en karaoké, comme le soir de leur première journée à Starlight Shores.

Mais de retour à la maison, le rêve s’estompa. Il était minuit passé, et les bambins n’étaient non seulement pas couchés, mais en plus ils n’avaient pas mangé. De plus, la baby-sitter avait disparu, craignant certainement les représailles.

Abi : Ludo, je te préviens, c’est la dernière fois qu’on engage une baby-sitter. Tu as vu comment elle a maltraité nos petits amours ? Elle n’a rien fait à part leur changer la couche.

Lud : Tu as raison, ma chérie. Nos enfants sont exténués, si je retrouve cette g***e je l’étripe.
Abi : Ludo, pas devant les enfants s’il te plaît.
Lud : Oups excuse-moi ma chérie.

Ben : Man ! Elle est méchante la dame, on avait faim et elle nous dit « m’en fiche tais-toi ! » !
Abi : Chuut mon cœur. Je te promets, plus jamais on ne te maltraitera comme ça. Jamais…
Ben : T’aime maman.
Abi : Ooh… Moi aussi je t’aime mon chéri.

Lud : Bonne nuit ma puce, fais de beaux rêves. Je t’aime.
Cer : Moi aussi je t’aime papa !

Après avoir couché les enfants, Abigaëlle et Ludovic s’endormirent, révoltés par le comportement de la baby-sitter.
Fin de l'épisode 13.
Episode 14-Doudou grandit, rendez-vous à la mairie

Le lendemain matin Doudou se leva en premier, il n’avait pas été fatigué par la soirée de la veille et avait pu se lever de bonne heure pour son anniversaire.

Voulant être sûr que ses maîtres n’avaient pas oublié ce grand jour, il alla les réveiller à l’aide d’aboiement tonitruants.

Lud : Meuh ne t’inquiète pas mon Doudou, je l’ai pas oublié ton anniversaire, mais j’étais fatigué, tout simplement. Tu sais à quelle heure je suis rentré hier soir ?[…]
Et blablabla et blablabla…

Abi : Grmmch saleté d’évier !
Oh calme-toi Abi !
Abi : Facile à dire !

Une fois qu’Abigaëlle eut fini de réparer l’évier, Doudou fêta son anniversaire. Il est beau, n’est-ce pas ?

Mais c’en fût trop pour Benjamin, qui désespérait de ne rien avoir dans son assiette, le pauvre.

Leïla aussi pleure, la pauvre louloute veut qu’on s’occupe d’elle.

Elle en profite pour faire connaissance avec Doudou, ils ont l’air de s’apprécier.

Heu… Je me demande laquelle des deux fait la tête la plus bizarre. Abigaëlle, tu comptes la traumatiser ou quoi ?

Abi : Guili guili !
Abigaëlle, juste pour savoir, t’as quel âge ? 3 ans ?
Abi : J’ai 35 ans et toutes mes dents, Fran’ ! Guili guili ma belle Cerise que j’aimeuh !
Cer : Guili maman ! Hi hi hi !

Abi : Ludo, t’es tout seul avec les enfants, je vais à la mairie porter plainte pour la baby-sitter.

Lud, l’embrassant : Vas-y mon amour. Mais n’exagères pas trop, hein ? Et rentre pas trop tard.
Abi : Roh Ludo, j’ai plus 12 ans tu sais.

Après quelques minutes en salle d’attente, Abigaëlle se retrouva avec une employée d’origine chinoise.
Abi : Bonjour madame, je suis venue porter plainte contre une baby-sitter de l’agence « Biberons et couches-culottes à Starlight Shores ». Figurez-vous qu’une de ces employées a maltraité mes enfants : mon mari et moi étions partis à une fête, nous avions donc engagé une baby-sitter pour nos triplés. Nous sommes rentrés vers 4h, les bambins n’étaient pas couchés et n’avaient pas mangé, et la baby-sitter s’était enfuie. Trouvez-vous ça normal ?

(ne tenez pas compte de la main dans l’ordinateur)
Emp : Oh que non, c’est tout à fait anormal. Votre nom ?
Abi : Abigaëlle Gauthier.
Emp : Très bien, madame Gauthier. Je vais contacter cette agence, et lui faire part de vos ennuis. Croyez-moi, cela ne se reproduira plus !
Abi : Merci madame.
Emp : Oh mais de rien, c’est mon métier voyons !

Une fois à la maison, Abigaëlle commença à préparer le dîner. Elle avait reçu un gros dédommagement, et se dit qu’il était temps de refaire la décoration des pièces.

Pendant ce temps, Ludovic asseyait les bambins pour le repas.

Abi : Chéri, dis-moi, qu’est-ce que tu penses de refaire la décoration de la maison ? Avec l’anniversaire des enfants après-demain, il faudrait avoir quelque chose d’un minimum présentable…
Lud : Tu as raison, ma chérie. Et au fait, ça s’est passé comment la mairie ?
Abi : Très bien. La dame a été très gentille, et m’a dit qu’elle allait s’en charger. Elle m’a même fait un gros chèque de dédommagement.
Lud : Cool ! Ca me fait penser que j’ai une petite surprise pour toi.

Après le repas, Doudou se coucha dans sa niche.

Puis, après avoir couché les enfants, ce fût le tour de Ludovic et Abigaëlle, dans leur chambre complètement refaite, la surprise que Ludovic voulait faire à Abigaëlle.

Et pour nous quitter, une autre vue de leur nouvelle chambre. Comme vous pouvez le constater, Ludovic a un nouveau coin travail. Des travaux sont en cours pour une nouvelle salle de bains.
Fin de l'épisode 15.
Episode 16-Dernier jour de couches-culottes

Le soleil se leva sur cette dernière journée de biberons et de couches-culottes pout Ludovic et Abigaëlle. En effet, le lendemain était le jour de l’anniversaire des triplés, qui allaient devenir des enfants, aller à l’école et tout le reste. Vous aurez l’occasion d’apprendre le prénom de l’héritier ou de l’héritière lors de cet évènement !

Dès son réveil, Ludovic commença une séance papouilles avec Doudou. Vous pouvez constater les aménagements provisoires du salon. Mais pour Abi, ce n’est pas encore ça, alors ça risque de changer.

Abi : Tiens ma belle, ton dernier petit déjeuner de bambine.
Leï : Merci !
Abi : De rien, ma grande.(s’adressant à Doudou) Doudou, arrête de machouiller le canapé tout neuf.
Le chien, obéissant, s’exécuta sans rien demander.

Abi : Bonjour ma belle Cerise. Ca va tellement me manquer de ne plus te faire de câlin tous les matins…
Cer : Maman veut câlin Cerise ?
Abi : Bien sûr, maman adorerait avoir des câlins de Cerise. Mais Cerise va devenir une grande fille, et elle ne voudra plus faire de câlins à maman.
Cer : Pourquoi ?
Abi : Parce qu’elle aura envie de jouer avec ses copines, et aussi avec Leïla et Benjamin.
Cer : Bah elle est nulle alors cette Cerise ! Moi, j’adore les câlins de maman !
Abi : Oooh… Je t’aime ma choupinette.
Cer : Moi aussi je t’aime maman !

Après cette discussion mère-fille pleine d’émotion, Cerise, apercevant que ses frères et sœurs s’amusaient déjà avec les cubes, se précipita vers eux.

A l’étage, Ludovic et Abigaëlle étaient en adoration devant cet objet si anodin qu’est une boîte de musique. Quand ils sont bizarres, ils sont vraiment bizarres.

Réalisant qu’elle ne profitait pas assez de ces enfants comme il se doit, Abigaëlle décida de s’asseoir dans leur chambre en les regardant jouer tout en lisant un livre de logique. De plus, cela lui permettait de joindre l’utile à l’agréable.

Lud : Miam ! Une bonne glace…
Ludovic… Tu crois vraiment que c’est raisonnable, à ton âge !
Lud : J’ai 32 ans, madame, j’ai encore l’âge. Pour mes 40 ans, je signe une interdiction de manger des glaces, promis !
Faut encore que tu tiennes ta promesse… Et comme je te connais, bah c’est pas gagné.

Dans la nurserie, Leïla pleure sûrement pour la dernière fois dans sa vie de bambine.

Pendant ce temps, Benjamin joue avec Roudoudou, son ami imaginaire, sûrement pour la dernière fois de sa vie de bambin aussi. Dieu, que le temps passe vite…

Abi : Alors, ma grande, demain c’est ton anniversaire ! Tu es contente ?
Leï : Oui, niversaire moi ! Je vais devenir grande ! Plus grande que toi !
Abi : Oh plus grande que moi je sais pas, mais tu vas devenir grande ça c’est sûr. On va au dodo !
Leï : Vi ! Dodo moi !

Lud : Bonne nuit ma chérie.
Cer : Papa, demain niversaire moi !
Lud : Oui ma chérie, demain c’est ton anniversaire. Et maintenant, on va au dodo pour bien grandir comme il faut, d’accord ?
Cer : ‘Cor papa !

Abi : Bonne nuit mon petit chou. Je t’aime beaucoup tu sais.
Ben : Pas petit ! Grand ! Je suis grand comme papa !
Abi : Oh excuse-moi mon grand. Maintenant maman va se coucher, elle est fatiguée. D’accord ? Dors-bien mon chéri.
Ben : ‘Nuit maman !

Après ces petits moments de tendresse envers leurs enfants, le couple se coucha en disant adieu aux biberons et aux couches-culottes, mais aussi aux câlins quotidiens et aux bébés mignons.
Fin de l'épisode 16.
Episode 17

Ca y est ! Le jour tant attendu de l’anniversaire des triplés est enfin arrivé. Que la fête commence !

Et c’est Benjamin qui ouvre le bal.
Lud : Allez, souffle mon grand garçon !
Ben : Ffff !

Bon anniversaire mon cœur.

Puis c’est le tour de Cerise(désolée d’avance, je n’ai pas de photos pour Leïla).
Lud : Tu fais un vœu ma belle ?
Cer : Vi ! Niversaire moi !
Lud : Oh mais c’est pas un vœu ça.
Cer : Si !Si ! Niversaire moi !Niversaire moi moi moi moi moi !
Elle a pas l’air un poil narcissique, là ?

Quoi qu’il en soit, joyeux anniversaire ma grande Cerise.
Cer : Hi hi hi ! Niversaire moi ! Niversaire moi !

Après le repas, toute la famille se mît à table pour déguster les gâteaux. Cerise a changé de couleur de cheveux.(en fait c’est moi qui lui ai mis les cheveux rouges juste parce qu’elle s’appelle Cerise…lol)

Alors, les filles, elle est comment votre chambre ?
Cer : Trop belle !
Leï : Mais pourquoi il y a 3 bureaux ?
Parce que, sa chambre étant trop petite, Benjamin viendra faire ses devoirs ici avec vous.

En parlant de Benjamin, le voici qui découvre sa chambre. Alors, elle te plaît ?
Ben : Oui ! Le seul hic c’est qu’elle est un peu petite, mais bon on y peut rien.

Une vue de haut de la chambre des filles.

Pour fêter l’anniversaire, les Gauthier organisèrent une petite sortie au parc à chiens qui avait été aménagé pour les enfants. Justement, ce n’était pas pour déplaire aux enfants qui se faisaient pousser par leurs parents.

Mais les adultes se lassèrent vite de pousser les enfants et préférèrent s’essayer au jeu de Gnubb.

Pendant que sa maman préparait le dîner, Cerise fit connaissance avec Doudou. Apparemment, ils s’entendent bien.

Abi : Les enfants, j’aimerais vous parler de quelque chose d’important.
En chœur : On t’écoute maman !
Abi : Vous vous en souvenez peut-être, car je vous ai souvent bercé en vous racontant ces histoires, j’ai décidé avec votre père de fonder une longue lignée qui s’étendra sur 10 générations. Mais il y a quelques règles à respecter : par exemple, le destin que celui ou celle qui prendra la relève sera entièrement tiré au sort. Vous n’apprendrez le verdict qu’à votre passage à l’âge adulte. Pour être l’héritier, il faut aimer l’aventure, et se sentir capable d’affronter tous les dangers de la jungle qu’est le monde extérieur. Est-ce qu’un de vous trois est intéressé ?
Il y eut un long silence. Personne n’osait répondre.
Abi : Je sais que j’aborde un sujet un peu difficile, mais il faudra bien que l’un de vous trois se désigne.
Cer : Moi, je veux bien maman.
Abi : C’est bien ma chérie. Tu en es bien sûre ?
Cer : Oui, maman.
Abi : C’est bien, je suis fière de toi ma grande. Maintenant, allez vous coucher, on en reparlera demain. Bonne nuit les enfants !
En chœur : Bonne nuit maman ! Bonne nuit papa !
Lud : Bonne nuit les chéris.

C’est ainsi que tout le monde se coucha. Cerise…

Puis Benjamin…

Leïla…

Puis Doudou…

Et enfin notre couple.
Episode 18

Par ce mardi matin, les enfants prirent leur petit déjeuner ensemble.
Leï : Papa, c’est quoi qui fait du bruit comme ça ?
Lud : C’est la lessive ma chérie.
Leï : Ah d’accord.

Alors ça va les enfants ? Prêts pour une journée d’écoles ?
En chœur : Ouiii !
Quel enthousiasme ! Me ramenez pas trop de copains/copines à la maison pour ce soir, faites un par un c’est mieux.

Humm ! Drôle de chauffeur… (en plus on distingue à l’intérieur les enfants, tranquilles)

Pendant ce temps, Ludovic commença à écrire, activité qui lui prendra toute la journée.(désolé pour le bug de la chaise téléchargée)

Heu, Leïla, c’est qui ce mec ? Et il est où, Benjamin ?
Leï : Chuut Fran’ il va t’entendre…
Cer : Mais n’importe quoi il faut être un Gauthier pour entendre Fran’ ! Benjamin est encore dans l’école, la maîtresse lui expliquait le leçon qu’il n’avait pas comprise. Par contre lui je sais pas.
Leï : C’est Thibaut, le copain de Ben.
Ah OK.

Abi : Ah mon beau linge propre !
T’exagères pas un peu Abigaëlle ? On dirait que tu respires le linge le plus propre du monde !
Abi : C’est normal parce que C’EST le linge le plus propre du monde ! T’as pas remarqué ? Mon linge !

Cer : Maman !
Abi : Ma chérie ! C’est gentil de me faire un câlin.
Cer : Je tiens ma promesse. Tu t’en rappelles ?
Abi : Comment pourrais-je l’oublier ?

Les enfants allèrent ensuite faire leurs devoirs sagement dans leur chambre.

Une heure plus tard…
Abi : Les enfants, papa et moi nous partons au bar pour la soirée. N’oubliez pas de vous coucher à une heure raisonnable ! On n’appelle pas de baby-sitter, vous êtes grand maintenant, mais s’il y a le moindre problème vous appelez, OK ?
En chœur : Oui maman !
Abi : Soyez sage. A demain les chéris !

Une fois les parents partis, Cerise se mît à la confection de muffins aux myrtilles pour manger un petit quelque chose.

Pendant ce temps, Leïla faisait connaissance avec Thibaut.

Au bar, Ludovic et Abigaëlle chantaient en karaoké une chanson d’amour qui voulait dire que l’amour qui ne s’arrête jamais est possible et que le mariage ne finit pas forcément au divorce.

C’est sur scène qu’Abigaëlle passa à l’âge adulte.

La voici. Elle n’a presque pas changé, sauf qu’elle est en pleine crise existentielle.

Lud : Tiens ma chérie. En guise de cadeau d’anniversaire.
Abi : Oh merci Ludo ! Elles sont si belles…

Lud : Tu vois cette étoile ? Elle symbolise notre amour.

Abi : Et celle-là nos enfants. A chaque fois qu’on reviendra ici, on se remémorera ce moment.

Mais notre couple commence à sortir de l’anonymat, et malheureusement ce moment intime fera la une des journaux du lendemain.

De retour à la maison, le couple se coucha et ils se serrèrent l’un contre l’autre toute la nuit.
Fin de l'épisode 18.
Episode 19

Vous pouvez remarquer une petite nouveauté dans la chambre des filles : une nouvelle cuisinière a été ajoutée, car les enfants souhaitent vendre leurs pâtisseries. Cerise et Benjamin sont aux fourneaux, et Leïla à la vente.

Les enfants prirent leur petit déjeuner tous ensemble.
Cer : Alors, ce soir, moi et Benjamin, on commence à cuisiner, OK ?
Leï : Et moi je fais quoi alors ?
Ben : Bah tu fais les devoirs pour tout le monde !
Leï : Très drôle…

Ben : Ah salut Thibaut.
Thi : Bonjour Benjamin. Elle est où ta sœur ?
Ben : Bah, elle est juste derrière.
Thi : Non, l’autre !
Ben : Ah, elle est déjà dans l’école. Tu la verras à la récré.
Thi : Dommage…

Pendant ce temps, Ludovic tentait d’apprendre à Doudou à s’asseoir.

Quand il réussit, Ludovic lui donna un biscuit pour le récompenser.

Puis, en bon père au foyer, il fit la lessive.

Lud : Ah ! Ca tue les oreilles !
Normal, à ce jour les machines silencieuses n’existent pas à Starlight Shores.
Lud : Dommage…

Mais ce n’est pas le bruit de machines à laver bruyantes qui va affaiblir super-Ludovic. En effet, il va même jusqu’à faire le lit de ses enfants.

Pendant ce temps, Abigaëlle partit se faire relooker au salon de beauté.
Styliste : Hmm, vous voyez, les rides commencent à apparaître légèrement sur le front. Il faudrait maquiller le tout pour cerner ça. Aussi, votre robe fait trop science-fiction, éternelle adolescente et pas assez mère de famille mature et responsable. Il faudrait changer ça aussi. Par contre, la coupe est parfaite, exactement ce à quoi on pense quand on dit « mère de famille mature et responsable ».
Abi : Heu… OK. Alors on fait ça.

Abi : Euh… Merci.
Abigaëlle s’était retrouvé avec un manteau de pluie, qui d’accord ne faisait plus « éternelle adolescente », mais qui faisait plus « mémé précoce » plutôt que « mère de famille mature et responsable ».

Pour équilibrer le tout, Abigaëlle rajouta une touche « éternelle adolescente » pour faire pencher la balance et sortir du côté « mémé précoce » en se faisant tatouer.

Et voilà ! Par contre, avec la tenue, on a vraiment affaire à une « éternelle adolescente ». Il y a plus qu’à tout recommencer…
Abi : Oh non Fran’, pitié, j’en peux plus…
Bon c’est d’accord. Tant pis pour la « mère de famille mature et responsable ». Au moins, on est plus « mémé précoce », c’est déjà ça.

Cer : Papa, j’ai pas compris l’exercice de maths. Tu veux bien m’aider s’il te plaît ?

Lud : Bien sûr ma chérie, c’est quand tu veux tu sais.
Notez ce caleçon « éternel adolescent » que l’on retrouve chez Ludovic.

Lud : Ah, je vois. Tu as une boîte de 48 gâteaux, et tu dois dire en combien de paquets de combien de gâteaux tu peux la partager.
Cer : Pff, j’y comprends rien… C’est chelou les maths.
Lud : Che quoi ?
Cer : Chelou ! Papa, tu sais pas parler jeune…
Lud : Roh c’est bon. Donc, reprenons…

A table…
Abi : Les enfants, nous avons une grande nouvelle.
En chœur : Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ?
Abi : On va déménager.
Leï : Hein ? Mais… on a des amis à Starlight Shores…
Lud : Ne vous inquiétez pas, on va rester à Starlight Shores, on va juste acheter une maison plus grande avec un grand jardin. Comme ça, on aura des chevaux.
Cer : Des chevaux ? Cool !
Ben : Mais il reste avec nous, Doudou, hein ?
Abi : Bien sûr qu’il reste avec nous. Maintenant, allez vous coucher, il se fait tard.

Sur ce, notre couple préféré se coucha, tout comme le reste de la maisonnée.

Fin de l'épisode 19.
Episode 20

Le lendemain matin, Abigaëlle se leva tôt afin d'avoir le temps de se préparer.
_Oh, mais qu'est-ce que je vois... Des riiides...!

Mais d'autres questions la tracassaient. Son métier de médecin légiste lui plaisait finalement beaucoup moins qu'avant, et elle avait de plus envie de changer d'air.
_Alors... Démission... ou pas?

Abigaëlle soupira et composa le numéro de son patron. Elle annonça sa démission avec le sourire. Elle avait déjà un autre métier en tête qui lui plaisait beaucoup.

Elle consulta les offres d'emploi au salon de beauté. Par chance, il manquait cruellement de personnel et Abigaëlle fut engagée sans problème en tant que styliste.

Puis ce fût l'heure de partir.
_Au revoir maison, soupira Ludovic en jetant un dernier regard vers la maison dans laquelle il avait vécu.

A la nouvelle maison, une jument du nom de Linda attendait la famille et Ludovic s'empressa d'aller la saluer pendant que les enfants partaient à l'école et qu'Abigaëlle était au salon.

Pendant que Ludovic tentait de monter sur le dos de Linda, Doudou essayait la nouvelle piscine qui n'a pas l'air de lui déplaire.

Mais l'équitation ne réussit pas au pauvre écrivain qui se fît immédiatement désarçonner.

_Aïïïïe!!! Ca fait mal!!!

_Ecoute, Linda, gronda Ludovic. La prochaine fois que tu me fais ça, tu seras punie! C'est bien clair?!
La jument émit un hennissement craintif, synonyme de "pardon, je ne recommencerai plus".

_Très bien ma belle, approuva Ludovic. Mais dis-donc, t'as sacrément besoin d'un brossage, toi.
La belle jument se laissa faire gentiment. Elle semble apprécier les séances de brossage de notre cavalier en herbe.

Pendant ce temps, au salon, Abigaëlle tentait de relooker sa patronne.
_Vous voyez, ce qui cloche avec vous, c'est la couleur de cheveux. Les cheveux blonds, ça le fait vraiment pas à votre âge.
Et la coupe aussi, raccourcir le tout. Ca vous va?
_Heu... Je vous fais confiance Mme Gauthier.

_Et voilà, c’est fini !
_Ah, Mme Gauthier, qu’est-ce que vous avez fait ? J’y tenais tellement à mes cheveux blonds…
_Hé, mais vous m’aviez dit OK !
_Oh, je vous en prie, rendez-moi mes anciens cheveux…
_Bah, euh… C’est que j’ai appliqué un produit qui fait que… il va falloir entendre 7 ans, Mme Buckshot.
[align=center]***[/align]
_(Han, j’y crois pas, c’est Priscilla Singh, là derrière, la superstar internationale ! Si j’allais la saluer ?)

_Bonjour, vous êtes bien Priscilla Singh ?
_Euh, oui, c’est bien moi. Je viens pour un relooking. Je paierais cher s’il est réussi.
_Oh, je m’en charge. Installez-vous ici, j’arrive.

_Bien, à mon avis, il faudrait changer la coupe.
_Et les chaussures, non ?
_Oui, les chaussures. C’est justement ce que j’allais dire.

Une fois le relooking terminé, Abigaëlle s’assit sur un des fauteuils de la salle d’attente et continua la lecture de son livre en attendant la fin de son service.

Comme Abigaëlle allait rentrer tard, ce fût Ludovic qui prépara le repas.

_Alors, mon Ludo d’amour, ç’est facile la cuisine ?
_Ecoute, je me débrouille. Après, ma salade ne sera pas aussi bonne que ton râgout, ça c’est sûr.
_T’es gentil…
_Maman, j’ai faim ! gémit Cerise tout en ouvrant le frigo.
_Papa a bientôt fini, ma chérie. Patiente encore un peu. Tu as fait tes devoirs ?
_Roh mais oui…

_Alors, les enfants, elle vous plaît la nouvelle maison ? demanda gaiement Ludovic.
_Oh oui, répondit Benjamin. Il y a même une piscine, c’est rigolo pour jouer avec Doudou.
_Et il y a Linda aussi ! l’interrompit Cerise, qui est d’ailleurs passionnée de chevaux.

_Par contre, le problème, c’est que maintenant maman rentre tard à la maison… renchérit Benjamin.
_Je vous dirai pourquoi demain, les enfants, dit Abigaëlle, pensive. Allez vous coucher, maintenant.

Mais « aller se coucher » n’était pas vraiment le bon terme pour Abigaëlle et Ludovic, qui s’autorisèrent quelques galipettes afin d’inaugurer leur nouveau lit.

Et après avoir tout simplement fait l’amour, notre couple s’endormit ainsi que le reste de la maisonnée.
Fin de l'épisode 20.
Episode 21

En ce vendredi matin, Abigaëlle prit une bonne douche dont elle avait bien besoin. Elle pensait à l’anniversaire de ses enfants qui se rapprochait de jour en jour. Ses bébés allaient bientôt devenir grands, et pour le coup casse-pieds.

Pendant ce temps, la jolie Cerise cuisinait des muffins. Il avait été convenu que Leïla se rendrait au parc après l’école pour vendre les pâtisseries.

Dans le jardin, la magnifique Linda s’étendait de tout son long.

Après le petit-déjeuner, Abigaëlle dût se rendre au salon de beauté.
_Déjà !..se disait-elle, toute fatiguée.

Elle commença par le relooking d’une vieille dame appelée Diane Whitfield, grande pratiquante des arts martiaux, qui souhaitait trouver une tenue adaptée à son âge et à ses espérances.

_Et voilà !dit Abigaëlle une fois le relooking terminé.
Diane se contenta d’effectuer quelques mouvements d’arts martiaux puis elle remercia Abigaëlle et la paya grassement.

Ce fût ensuite le tour de sa fille Lela.
_Vous êtes une de mes premières clientes qui n’est pas moche à la base. Vous avez un très beau visage, on peut vraiment faire quelque chose.
_Heu…Merci c’est gentil à vous.

Après les cours, Leïla se rendit comme promis au parc pour vendre ses gâteux. Espérons qu’elle réussisse.

_Ah ! Pousse-toi méchante mouche ! T’as rien à faire là ! Va plutôt manger les gâteaux du voisin !

Après quelques relookings, Abigaëlle décida de rentrer plus tôt à la maison pour profiter de ses enfants.

Elle fût accueillie en grande pompe par Cerise, qui s’empressa de se jeter dans ses bras.
_Maman ! T’es déjà là ?
_Oui ma puce, je suis rentrée plus tôt aujourd’hui.
_Chouette !

Abigaëlle et Cerise furent témoins d’une scène de rencontre entre Linda et un cheval sauvage.

_Tu as vu maman ? Un cheval sauvage!
_Oui j’ai vu ma chérie.
_Tu crois qu’on pourrait l’adopter ?
_Ca risque d’être un peu compliqué. Le cheval est bien en liberté, je ne pense pas que ça lui plaise de vivre ici avec nous.

Pensive, Cerise regarda le cheval s’éloigner sans aucun mot. C’est alors qu’elle jura que, plus tard, elle serait éleveuse de chevaux et que son mari les prendrait en photo.

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Après le repas...

_Maman, est-ce que demain on pourra faire une soirée pyjama?
_Oh et bien pourquoi pas.
_Youpi ! Merci maman.
_Oh mais de rien ma chérie. Maintenant, va te coucher, il se fait tard.

_Ludo, j’aimerais te demander quelque chose.
_Je t’écoute ma chérie.
_Donc, demain, les enfants veulent organiser une soirée pyjama. J’ai dit oui à Cerise. Et toi, tu es d’accord ?
_Bien sûr. Ca peut être sympa.

Sur ces mots, c’est un joli couple fatigué qui se coucha.
Fin de l'épisode 21.
Episode 22

_(chantant) Un beau lit, c’est ce qu’il y a de mieux… J’en peux plus… de ces draps miteux…
Euh… Ludovic, tu chantes ?
_Ouaip. Ca te dérange ?
Ouais. Donc t’arrête tout de suite. Un homme de 40 ans ne chante pas en faisant son lit, voyons, c’est un principe.

_Tiens ! Prends ça !
_Aaaouh !!!
Elles sont folles. Bon, j’ai rien vu, rien entendu, parce que sinon la pauvre Abi va me tuer.

_T’es trop drôle Leïla ma cocotte.
_Toi aussi Cerise ma… cerise ?
Quelle imagination !

_Bon, on invite qui alors ?

(sortant sa liste)_Bah, Rita pour Benjamin, Thibaut pour moi et Reda le livreur de journaux pour toi.
_OK ça roule !

_Ah, Cerise, t’es là. Dis, t’as pas oublié d’inviter Rita ?
_Nan, on a invite tous les potes avec Leïla. Pas de quoi t’en faire, tu vois.

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[/hr]
Après le petit-déjeuner…

_Papa, je voulais savoir un truc. Tu sais, lundi, c’est notre anniversaire. Je me demandais s’il y aurait une fête ou pas.

_Oh, écoute ma chérie, avec maman on pensait plus à un truc intime, entre nous 5 seulement. Parce que deux jours après une soirée pyjama, c’est juste quand même. Mais maintenant, va faire tes devoirs si tu veux profiter de la fête de ce soir.

_Alors, je vais t’avouer un truc. J’en ai vu des choses dingues dans ma vie, mais ça c’est une grande première. Mon fils fait une bataille de polochons avec lui-même !
Euh, oui j’avoue, là c’est abusé. C’est grave docteur ?

Abigaëlle, on dirait que t’as jamais vu de chevaux de ta vie. Quand on monte sur un cheval, on se tourne du même côté que lui ! D’accord ?
_Roh c’est bon hein. Tu vas voir, je vais me retourner, et quand on galopera, ça va être la classe. Prête ?
Ouais. Essaye de pas te casser la jambe.

_Ah… Ah ! D…doucement Linda. Au pas…
Je te le répète, essaye de pas te casser la jambe. Vu la tête que tu fais, c’est mal parti.
Arrêtes tu me streeesses…Aaaah!!!
Pour cause de violences extrêmement apparentes, la scène qui va suivre sera censurée.

Une fois Abigaëlle changée, la fête commença. Reda, ami de Cerise, est le garçon au look cow-boy et Rita, l’amie de Benjamin est devenue adolescente. Quant à Thibaut, il tarde à arriver.

Fidèle à son rôle de mère au foyer, Abigaëlle prépara des spaghettis pour le repas. Elle prit soin de préparer quelques portions végétariennes au cas où.

_Alors, ça va Reda? Besoin de rien?

(chantant)_ Besoin de rien, envie de toi…
(chantant ensemble)_Et jamais envie de personne…

_Bon, on arrête de délirer. De toute façon, on va bientôt passer à table. En fait, faut que je te dise…

_Les enfants, à table!
Roh t’es c***e Abi. Tu viens d’interrompre un moment décisif de l’histoire de Reda et Cerise…
_M’en fous. Le repas est prêt, on passé à table, c’est un principe non?
Bon, t’as gagné cette fois, mais la prochaine fois, attention, je sors mes griffes… Grrr…

_Bon, je vous préviens tout de suite les enfants, il est déjà tard, donc après manger, vous jouez un quart d’heure et puis extinction des feux.
_Hmm mais pourquoi ?
_Leïla, je te rappelle qu’on avait dit on dort à 23h. Je ne fais que respecter les choses qui ont été dites.
_Ah OK.

Après le repas…
_Dis, Rita, c’est bien le lycée?
_Ouais c’est cool. Il y a des mecs cool, surtout le mien.
(déçu)_Ah parce que… t’as un mec?
_Et ouais.
_Les enfants, c’est l’heure d’aller au lit !
_Bon bah, je te laisse.

Et voilà, les enfants, obéissants, sont allés se coucher. Benjamin a l’air un peu déçu par Rita, mais il va s’en remettre je pense. Quant à Cerise, je me demande ce qu’elle a voulu dire à Reda…
Fin de l'épisode 22.
Episode 23

_Pffiou… J’en peux plus, faut que ça change.
De quoi ? Qu’est-ce que t’as encore ?
_Je suis trop grosse…
Gniin ? T’es la fille la plus maigre que je connaisse !
_Arrête steuplaît.

Abigaëlle est une femme très contradictoire, vraiment. Elle crie sur les toits qu’elle est trop grosse, puis deux secondes après elle engloutit une assiette de gaufres, tout est normal.
_Je prends des forces pour le gymnase, rien à voir.
Mouais c’est ça.

Pendant ce temps, dans la pièce principale, les enfants se levaient, réveillés par les « couic couic » du jouet de Doudou. Enfin quand je dis les enfants, ce sont surtout les Gauthier, parce que ça n’a pas l’air de faire grand-chose à Reda.

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Quelques minutes plus tard…

_Aïe… Purée ça fait trop mal, c’est la dernière fois que je fais ça.
J’en étais sûre que t’allais dire ça. Taux de résistance=0 chez toi.
_Sympa…
Ouais, t’as vu ?

_Salut Reda ! Alors, bien dormi ?

_Ouais, cool. Et toi ?

_Super. Mais tu devrais rentrer chez toi, non ? Ta maman va s’inquiéter, sinon.
_Ca risque pas, elle est morte à ma naissance. Et mon père l’était déjà depuis des lustres. J’ai été élevé par une dame du foyer de la ville qui m’a abandonné dès que j’ai su tenir debout.

(gênée) _Oh, euh, excuse-moi. J’ai pas voulu...

(l’interrompant, puis l’enlaçant) _T’inquiète, c’est rien. Bon maintenant je te laisse, je vais rentrer chez moi. On a papoté un long moment, c’est bientôt l’heure du dîner. Et en fait, qu’est-ce que tu voulais me dire hier ?
_Et bien, en fait…
(l’interrompant)_Cerise, à table!

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Reda s’en alla alors sans un mot, laissant Cerise pensive. Franchement, on n’a pas de chance avec cette Abi, toujours à appeler à table au mauvais moment !
Et après le repas…

Ludovic fêta son anniversaire.
_Yahou! Youpi!

_Ouais ! Bon anniversaire papa !

_Aaah qu’est-ce qui se passe?
_Tu grandis mon chou. Bon anniversaire !

_Ouais ! Bravo !
_Des riiides ! Je ne suis pas vieux, dame nature ! Retirez moi ces rides, par pitié, sinon je…
Bon, je vous laisse ici, on va se calmer, on va envoyer tout le petit monde au lit, et on se retrouve demain pour l’anniversaire des triplés ! Et oui, déjà, ça passe vite.
Fin de l'épisode 23.
Episode 24