| | [Le Poulet & Sucréomiel] Libre | |
| |
Auteur | Message |
---|
Le Poulet Timide du pinceau Date d'inscription : 10/03/2011
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Dim 15 Juil 2012, 23:28 | |
| C'était juste pour m'en assurer, au cas où, merci pour la précision Pomme-Kiwi. |
| | |
pomme-kiwi Ange gardien Date d'inscription : 27/09/2009 Age : 37
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Mar 17 Juil 2012, 21:09 | |
| Je vous rappelle qu'il vous reste 3 jours. Vous avancez bien? |
| | |
Sucréomiel As de l'acrylique Date d'inscription : 03/01/2010 Age : 29 Localisation : Imaginarium
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Mar 17 Juil 2012, 21:12 | |
| Je n'en suis qu'au début mais je serai dans les délais normalement |
| | |
Le Poulet Timide du pinceau Date d'inscription : 10/03/2011
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Mar 17 Juil 2012, 21:19 | |
| J'avance aussi, j'espère que ça ira aussi pour les délais mais ça risque d'être aléatoire si je trouve l'inspiration pour écrire >< |
| | |
pomme-kiwi Ange gardien Date d'inscription : 27/09/2009 Age : 37
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Ven 20 Juil 2012, 15:30 | |
| Je viens aux nouvelles. Vous êtes toujours dans les temps? |
| | |
Sucréomiel As de l'acrylique Date d'inscription : 03/01/2010 Age : 29 Localisation : Imaginarium
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Ven 20 Juil 2012, 15:36 | |
| Je posterai à la dernière minute ce soir. Là je suis sur la route. C'est ma faute je me pensais plus large que je ne l'étais. Mais je serai dans les temps ! Si jamais j'ai un soucis de connexion, je vous laisserai un message avec mon portable. Ma connexion a l'air bonne, je poste ce soir |
| | |
Sucréomiel As de l'acrylique Date d'inscription : 03/01/2010 Age : 29 Localisation : Imaginarium
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Ven 20 Juil 2012, 23:59 | |
| Pile dans les temps ! Ouf ! Le thème étant libre, je suis parti sur un évènement relatif à la guerre. En vérité, ce sont les idées de thème de Fu qui m'ont inspirée. Je n'ai pas la prétention d'être au plus près de la vérité. Disons que j'ai essayé de m'en approcher, de l'éprouver, c'est un risque que j'assume. - Spoiler:
Jour de pluie L’alarme déchire le silence. Longue, puissante, lancinante.
Abandonnant la douceur des rêves, j’ouvre les yeux pour affronter ce cauchemar qui ne semble pas connaitre de fin. Le soleil se lève à peine, diffusant une lumière ambrée par les fentes des volets. Je repousse les couvertures, enfile un gilet et chausse mes sandales. Anka est déjà debout, aidant sans un mot notre sœur cadette à s’habiller. Nous sommes déjà prêts quand l’alarme se tait. L’habitude a pris le dessus sur la panique.
Père parait dans l’encadrement de la porte. Son visage est sombre comme à l’accoutumée. Cela fait une éternité que je ne l’ai pas vu sourire sans cette pointe d’amertume qui ternit nos jours. Il a la valise, celle préparée en cas d’alerte. Elle contient l’essentiel de nos économies, les bijoux de famille, quelques photos, une couverture de laine et de la nourriture.
« On y va. »
Nous lui emboitons le pas. Mes deux sœurs se tiennent par la main et mère nous rejoint dans la cuisine. Elle prend le temps de fermer la porte de l’appartement derrière nous. Nous ne sommes pas à l’abri des pilleurs faisant fi de la menace extérieure. Père ouvrit la marche dans les escaliers armé d’une lampe torche. Nous traversons la cour intérieure de l’immeuble. Dehors, un silence de mort règne. Aucun souffle de vent ne trouble la chaleur estivale. Aucun oiseau ne s’élève dans le ciel coloré de l’aube. Comme si la vie refuse de suivre le cycle du soleil…
J’aide Père à soulever la lourde de trappe qui s’ouvre sur le tunnel. Sans hésiter, nous nous engouffrons à l’intérieur. La galerie est étouffante. Deux hommes ne peuvent pas se croiser de front, le système de ventilation est défaillant. Les yeux fixés sur la carrure rassurante de Père, je compte les pas. 71 avant de déboucher sur l’abri collectif du quartier.
Une voute en briques rouges abrite une vingtaine de personnes. Des ampoules reliées au générateur indépendant sont suspendues aux quatre coins de la salle. Des armoires métalliques renferment des provisions et le nécessaire de survie. Nous n’avons pas de peine à trouver un banc libre. Beaucoup d’habitants sont partis sur les routes de l’ouest, portés par l’espoir que, là-bas, il y a la paix. Quelques voisins nous saluent d’un sourire. Je garde les yeux rivés sur le sol en béton, je ne veux pas lire sur leurs visages les sentiments que je m’obstine à combattre.
Certains discutent à voix basse pour tromper la peur. L’air grave, des enfants jouent aux dés à même le sol. Une vieille femme se concentre sur son canevas et d’autres se retranchent dans leur mutisme ou prient.
Tous attendent.
« Salut. »
Stef vient s’asseoir à côté moi, à cheval sur le banc. Je lui réponds d’un hochement de tête. Le visage mangé par une barbe de quelques jours, il est mon ainé de deux ans mais en parait cinq de plus. Le regard noir déterminé, il est foncièrement patriote. Il veut s’engager dans l’armée. Pour Ludmilla dit-il, pour qu’elle l’aime comme un homme. Il n’a que 18 ans et veut devenir un héros comme ceux qu’on voit dans les journaux : armes à feu au poing, ceintures de munition et gueules cassées. Je suis persuadée que c’est là sa véritable motivation : être reconnu et admiré.
Je l’admire déjà mais je ne l’approuve pas. Adam avait son âge lorsqu’il a décidé de revêtir l’uniforme de soldat. Il voulait "faire quelque chose de sa vie". On l’a laissé partir, il n’est jamais revenu. Mort sur le champ de bataille, mort en héros, mort pour rien. La disparition de mon frère aîné a bouleversé nos certitudes, anéanti nos espoirs et apporté un peu plus de noirceur à notre quotidien. Je chasse son visage de mon esprit pour m’intéresser aux propos de Stef. Je hoche la tête mécaniquement, je ne parviens pas à me concentrer.
J’attends.
Quand, soudain, elle frappe sans prévenir. La pluie. Celle qui meurtrit la terre, réduit en poussière des immeubles, détruit des vies. On ne sait ni quand elle commence, ni quand elle s’arrête. On redoute son intensité et les dégâts occasionnés.
Une violente déflagration fait vibrer l’ensemble de l’abri. Mon cœur se fige, glacé par la terreur. Ce n’est pas la première fois que j’entends une bombe explosée mais l’effroi est toujours le même. Je devine une seconde au loin, puis une troisième… Le rythme s’accélère. Je ne respire plus. Personne ne peut prétendre avoir l’habitude de ce spectacle. C’est trop dur. Nous ne faisons que deviner l’horreur qui se déroule là-haut. Le sifflement des bombes, l’impact, les éclats,… Je ferme les yeux et tente de réprimer les élans de panique qui s’emparent de mon corps. Entre deux détonations, j’entends Mère murmurer des prières. Je ne crois plus en Dieu dans ces-moments-là, je n’y parviens pas.
Alors, comme pour l’exaucer, les bombardiers semblent s’éloigner avec leur cargaison infernale. J’ouvre les yeux et redresse la tête, l’abri a tenu le coup. Je ne m’autorise pas à souffler. Ce ne peut être qu’une accalmie. Le bombardement n’a duré que cinq minutes. L’attente est insoutenable. Tous gardent le silence, les sens en alerte.
Une heure s’écoule, longue et éprouvante.
Enfin, l’alarme retentit. Elle chasse l’angoisse, la peur et cette odeur de mort qui nous colle à la peau. Nous nous regardons, incrédules. Bien que le soulagement se lise sur nos visages, personne n’ose bouger. C’est Stef qui se lève le premier, claque dans ses mains et grimpe à l’échelle pour ouvrir la trappe principale qui donne sur la mairie. La lumière semble tomber des cieux. L’illusion est divine.
Sans un mot, nous reprenons la galerie qui mène chez nous. Je suis épuisé par les épreuves que nous inflige quotidiennement la guerre. Je n’ai même pas le courage de compter les 71 pas, guettant avidement une lueur au bout du tunnel. Finalement, nous débouchons à l’air libre. Le soleil est déjà haut dans le ciel sans nuage. Je soupire, notre immeuble a été épargné.
Jusqu’à la prochaine averse.
999 mots.
Dernière édition par Sucréomiel le Sam 21 Juil 2012, 00:30, édité 3 fois (Raison : Ajout du nombre de mots) |
| | |
Le Poulet Timide du pinceau Date d'inscription : 10/03/2011
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Ven 20 Juil 2012, 23:59 | |
| Bon, à la toute dernière minute, voilà mon texte. Je préviens d'avance : ça fait des années que j'ai pas écrit pour raconter des histoires et je suis pas un grand lecteur... ne vous attendez donc pas à un merveille de ma part ;p J'ai fait de mon mieux, j'ai travaillé plusieurs journées dessus, fait des recherches, et jusqu'au bout j'ai essayé de rendre ça correct... mais bon, pas sur que ça suffise !
J'espère que vous apprécierez. - Spoiler:
Ses prunelles s’illuminaient lorsqu’il la contemplait, ondoyant au son des cuivres et des congas. Les reins cambrés, elle se laissait porter par le rythme, sensuelle, elle virevoltait passionnément et savourait l’instant, dardant ici et là un regard embrasé. Il était comme absorbé par le spectacle et continuait à la dévorer des yeux, comme si plus rien d’autre n’existait. Et t’as été assez naïve pour croire que tu lui plaisais… T’es bien trop jeune pour lui. Et pas assez jolie aussi, certainement. On disait souvent à Juliet qu’elle était charmante. Pourtant, elle n’avait pas les traits fins, sa mâchoire était carrée, son nez aquilin, et ses formes… même si Tessa était plus pulpeuse, ça lui allait bien à elle. Cette fille-là, c’est sûr, elle en avait du charme. Ses grands yeux en amande lui donnaient un petit air malicieux, mais c’est son large sourire qui semblait le captiver : elle avait ce qu’on appelle les dents du bonheur, un nom qui allait à ravir dans son cas. «Hé, si elle te plait tant, pourquoi tu vas pas la r’joindre pour danser avec ?» lui murmura-t-elle à l’oreille, alors qu’il était toujours plongé dans ses pensées. Il prit quelques secondes à réagir, mais sa pique obtint l’effet escompté : Ruben baissa les yeux, et un moment, il la considéra d’un air penaud… «Je t’emmerde» lui répliqua-t-il, très posément. Puis soudainement, il se mit debout, non pas pour la rejoindre elle, non, mais pour tendre sa main à Jill et l’inviter à aller sur la piste. Il était temps. Elle sourit en guise de réponse, puis but d’un trait le fond de son verre de rhum avant de se lever à son tour. Sa tête tournait. Ses pas étaient peu assurés, mais heureusement, il était là pour la guider. Malgré sa silhouette trapue, Ruben dansait avec beaucoup de grâce et semblait adorer ça. Juliet aurait voulu glisser dans l’air, et tourbillonner gaiement, transportée par le rythme de la salsa. Au lieu de cela, elle se sentait empotée, trop exténuée pour se laisser aller. Aussi, lorsqu’elle entrevit les premiers rayons du soleil percer les délicats rideaux de soie elle fut presque soulagée. La plupart avait beau ne pas comprendre un traitre mot d’anglais, les amis de Ruben l’avaient pourtant accueillie à bras ouvert, et la soirée était passée tellement vite à leurs côtés, ponctuée par des anecdotes dont elle avait du mal à comprendre le sens et des éclats de rire. __________________ Le bord du panier en fer lui entamait sérieusement le bas des cuisses. Tout ce qu’ils possédaient pour se déplacer dans les étroites rues de la ville, c’était un vieux vélo rouillé. Ruben éprouvait des difficultés à rouler droit tant la chaussée était déformée, et le vacillement de l’engin mettait les nerfs de Jill à vif. A sa droite, les rayons du soleil rasant la surface lisse de l’océan offraient un superbe spectacle… mais tout ce que Juliet sentait à ce moment-là était le vent salé lui fouettant le visage. Lorsqu’ils arrivèrent au marché, la foule s’était faite tellement dense qu’ils durent continuer à la marche. Malgré ses ampoules aux pieds, Juliet n’aurait pour rien au monde voulu être ailleurs. Elle trouvait toujours ici matière à s’émerveiller, que ce soit les produits exposés sur les étals : des fruits exotiques aux couleurs chatoyantes, des toiles bariolées évoquant les habitations typiques de la ville ou même des tableaux représentant de vieilles voitures américaines et des jazzmen ; mais aussi le brouhaha des conversations et l’agitation autour d’elle… rien de mieux pour se sentir complètement dépaysée, chaque passage apportait son lot de nouveautés. Ce matin-là, c’est un petit comptoir un peu à l’écart des autres qui éveilla sa curiosité. Il y avait sur celui-ci une grande variété de sculptures en ébène. Celles qui attirèrent le plus son attention furent des petites statuettes de bois représentant des femmes aux courbes voluptueuses, ornées de petits chapeaux en feutre et décorées à l’aide de sable coloré. A coup sûr, ça plaira à Sylvia. Aussi, il lui vint l’idée d’en acheter une. Mais comme elle fouillait ses poches, elle se rendit compte qu’il ne lui restait assurément pas de quoi payer, elle se tourna donc vers Ruben : «Dis mon coco, j’ai plus un rond, ça te gênerais pas de m’avancer un peu ? demanda-t-elle en lui faisant les yeux doux. - Bien sûr que non ma p’tite dame», assura-t-il avec un sourire narquois. La marchande était une femme corpulente, à la peau sombre, d’une quarantaine d’années. Elle portait une robe en coton légère, sous laquelle ses seins tombaient lourdement, et sa physionomie n’était pas très avenante. Un jeune, son fils somnolait affalé sur un siège à côté d’elle. Elle mettait Jill mal à l’aise, et lorsqu’elle tenta de demander le prix de la statue dans son plus bel espagnol, celle-ci continua de la dévisager. Elle a certainement rien compris à ce que je baragouine, je dois vraiment être pas douée ! C’est à ce moment-là seulement qu’elle s’aperçut que Ruben tentait discrètement de dérober une des statuettes. Voyant qu’elle regardait ailleurs, la matrone se tourna également vers lui. Tout s’enchaina très vite, et Jill ne comprit pas de suite ce qu’il se passait : la vendeuse se leva et gueula un ordre à son gosse, qui se leva à son tour et lança à Jill un regard sombre. Ruben était déjà en train de détaler, et lui criait de courir. Elle fut pétrifiée quelque secondes, en train de réaliser ce qu’il se produisait. Le con ! A son tour, elle prit ses jambes à son cou. Dans sa fuite, Ruben l’avait entrainée vers des ruelles étroites et peu passantes. Juliet courrait le plus vite possible pour ne pas se faire rattraper, malgré ses jambes lourdes et le soleil qui tapait sur sa nuque. Par chance, le gamin étant aussi enrobé que sa mère, elle ne tarda pas à le semer, et à sa peur première succéda très vite l’excitation, causée par la montée d’adrénaline. La situation avait également l’air d’amuser Ruben qu’elle entendait rire devant elle. Franchement, regarde ce qu’il te fait faire ! Décidément, il comprend toujours tout de travers… Soudain, quelqu’un lui empoigna le bras et l’entraina à l’écart. Ils débouchèrent sur une minuscule place. Elle était entourée de murs dont le crépi jaune délavé témoignait d’une longue histoire, et quelques pans étaient recouverts de lierre. Une femme à la fenêtre étendait son linge en sifflotant. L’atmosphère y était paisible, loin du bouillonnement de la ville. Ruben s’affala sur les pavés du sol, et entraina Juliet qui retomba à quatre pattes, nez à nez avec lui. Une goutte de sueur lui perlait sur le front. Ils étaient si proches qu’elle sentait son souffle haletant sur son visage. Elle resta comme ça un moment. Puis d’un coup, elle bascula et posa sa tête sur l’épaule de Ruben en éclatant de rire. «T’es vraiment trop bête… On aurait pu avoir des problèmes pour ça ! lui lança-t-elle tout en s’efforçant de retrouver son sérieux. - Hum, mais t’as quand même aimé ça avoue !» réplica-t-il, l’air amusé. Il lui assaillit les côtes de chatouilles avant qu’elle puisse répondre quoi que ce soit. __________________ Lorsqu’ils arrivèrent chez Ruben, le soleil était déjà haut dans le ciel. Il habitait une maison typique, d’architecture coloniale, dont les murs d’un bleu vif contrastaient assez avec les façades voisines. Son père s’était déjà attelé à la préparation du repas, et disposait des brochettes sur le grill, tandis que Sylvia fumait sa cigarette, assise, le regard dans le vague. Elle se tourna en voyant Jill s’approcher d’un pas timide, quelque chose caché dans le dos. Et lorsqu’elle lui tendit la statuette, le visage de Sylvia, d’ordinaire si mélancolique, s’illumina. Rien ne réchauffait plus le cœur de Juliet que de voir sa mère sourire. Personne ne mérite le bonheur plus que toi… Si seulement on pouvait ne plus jamais quitter cet endroit!
1319 mots, j'ai du passer du temps à réduire pour répondre à la contrainte.
Dernière édition par Le Poulet le Sam 21 Juil 2012, 01:23, édité 3 fois (Raison : Oubli de l'italique pour deux phrases.) |
| | |
Le Poulet Timide du pinceau Date d'inscription : 10/03/2011
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Sam 21 Juil 2012, 00:04 | |
| C'est vraiment super Sucrée. Je pars me cacher. J'ai plus qu'à attendre ma raclée. |
| | |
Sucréomiel As de l'acrylique Date d'inscription : 03/01/2010 Age : 29 Localisation : Imaginarium
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Sam 21 Juil 2012, 01:28 | |
| N'importe quoi ! Il y a une fraîcheur dans ton texte qu'il n'y a pas dans le mien |
| | |
pomme-kiwi Ange gardien Date d'inscription : 27/09/2009 Age : 37
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre Sam 21 Juil 2012, 10:21 | |
| Mdr, vous avez tous les deux posté à 23h59 Je m'occupe des votes de suite |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [Le Poulet & Sucréomiel] Libre | |
| |
| | | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |