| | Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque | |
| Auteur | Message |
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Lehanna Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 07/10/2011 Age : 27 Localisation : Nord (59)
| Sujet: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Dim 01 Nov 2015, 17:46 | |
| Hello ! Vu qu'il n'y a pas de limite de battles je me lance pour une nouvelle hihi ! Juste pas de poésie Qui veut battler avec moi ? |
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Maeleo As de l'acrylique Date d'inscription : 17/10/2012 Age : 26 Localisation : dans ma bulle
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Dim 01 Nov 2015, 22:16 | |
| J'allais dire moi, je voulais faire une spéciale halloween, mais on a déjà une battle ensemble, ça risque de faire répétitif niveau adversaires (après moi ça me dérange pas, mais... x)) |
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Lehanna Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 07/10/2011 Age : 27 Localisation : Nord (59)
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Lun 02 Nov 2015, 15:44 | |
| Moi non plus ça me dérange pas Comme tu veux, si tu préfères en faire une avec un autre adversaire ou pas moi j'aime bien battler avec toi |
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Maeleo As de l'acrylique Date d'inscription : 17/10/2012 Age : 26 Localisation : dans ma bulle
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Lun 02 Nov 2015, 19:22 | |
| Moi aussi j'aime bien battle avec toi huhu :3 donc si ça dérange personne, pourquoi pas ? :3 |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Lun 02 Nov 2015, 19:59 | |
| Des jumelles de battle Thème : Jumeau démoniaque.
Contrainte : Le texte doit être écrit à la 1ère personne.
Limite : environ 1 000 mots.
A remettre avant le 16/11/2015 Ton avatar, Lehanna, c'est toi version Michael Myers ? |
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Maeleo As de l'acrylique Date d'inscription : 17/10/2012 Age : 26 Localisation : dans ma bulle
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Lun 02 Nov 2015, 22:03 | |
| Un thème sur les jumeaux pour des jumelles de battle, parfait Bon courage Lehanna :3 |
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Lehanna Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 07/10/2011 Age : 27 Localisation : Nord (59)
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Lun 02 Nov 2015, 22:48 | |
| Alors Mad je vais te poser la question qui tue : qui est Michael Myers ? Sinon chouette, on rattrape tous ces mois sans battler ensemble ! En plus tu t'y connais en jumeaux démoniaques Mae Bon courage ! Et merci pour le thème Mad ! |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Mar 03 Nov 2015, 18:58 | |
| C'est lui ! Bon courage à vous deux ! |
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Lehanna Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 07/10/2011 Age : 27 Localisation : Nord (59)
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Lun 16 Nov 2015, 20:09 | |
| Voilà mon texte ! Bon comme je ne savais pas trop ce que tu entendais par environ 1000 mots et que j'étais inspirée j'ai fait un peu plus de 1100, c'est dérangeant ? - Spoiler:
Madness « Un, deux, trois. »
La voix résonna dans l’obscurité, et, terrifiée, je me calai un peu mieux sous le lavabo. Le sol était froid et trempé, j’étais froide et trempée, mais le bruit de pas dans le couloir me fit oublier tout ça. La baignoire me bouchait la vue, mais je voyais tout de même le coin de la porte. Qui s’ouvrit.
Je fermai les yeux un peu plus, complètement paniquée désormais. « Mon Dieu, ou qui que ce soit d’autre, sauvez-moi, pitié, j’ai été sage cette année. » Et je songeai avec amertume que oui, vraiment, je n’avais fait aucune bêtise, et je ne voyais pas pourquoi c’était moi qui devais être punie, parce que mon frère avait été nettement plus insupportable que moi. Mes parents l’avait encore dit avant de partir en week-end, le soir précédent.
Et bien sûr, il avait fallu que ce soit cette nuit-là qu’il montre son vrai visage. Son visage proprement terrifiant.
La porte grinça sur ses gonds. Et je crus sincèrement que c’était ma fin, là, tout de suite, immédiatement. Des images défilèrent dans ma tête, pas toutes agréables mais toutes empreintes d’une certaines tristesse, d’une certaines nostalgie. Ma respiration erratique, la douleur dans mes jambes trop longtemps pliées, la courbature de mes doigts crispés – autant de sensations auxquelles je pris conscience. Autant de sensations qui me manqueraient dans l’au-delà. Parce qu’il était clair que c’était ma destination dans un futur proche – et même mes sarcasmes ne me consolèrent pas à cet instant.
Pourtant, il passa devant moi sans m’apercevoir, et après avoir balayé la pièce du regard, il sortit de la salle de bains. « Sale pute », grogna-t-il, et l’entendre me fit réellement mal, parce qu’on avait toujours eu cette complicité que d’aucuns jalousaient, et que je ne comprenais pas ce qui avait pu le conduire à cette haine si pure, si violente et si brutale. Si animale.
La folie dans ses yeux, celle que j’observais chaque jour depuis maintenant quelques mois sans pouvoir intervenir, en disait longtemps cependant. Il sombrait chaque fois un peu plus. Et toute sa lucidité, tout l’amour qu’il avait pu me porter, tout ce qui le rendait humain… tout ça s’était évaporé irrémédiablement. Et de manière plus évidente et plus voyante que je n’étais prête à l’avouer, parce que ça aurait voulu dire que j’avais été impuissante sur toute la ligne.
Quand il fut certain qu’il était réellement parti et qu’il ne m’attendait pas caché derrière la porte, je m’autorisai un léger soupir de soulagement. Non sans faire craquer mes omoplates nouées, je me levai doucement et à pas furtifs, je rejoignis le rez-de-chaussée qui serait vraisemblablement plus sûr que l’était l’étage.
Primo, c’était plus grand, il y aurait plus de cachettes, et ce serait de ce fait plus long à fouiller.
Secundo, c’était là qu’il y avait l’entrée, et surtout c’était par là que je pourrai sortir dans la rue – et à ce moment, courir, courir de toutes mes forces, courir pour tenter d’échapper à ce frère que j’aimais tant, à cet ami que j’avais perdu… courir pour tenter d’échapper à mon double et à la seconde moitié de moi-même.
Les larmes me montèrent aux yeux et je ne tentai pas de les réfréner – personne pour me voir, personne d’autre que mon jumeau presque perdu.
Et enfin, tertio… Je n’avais pas encore de tertio, mais je comptais bien en trouver un, parce qu’il fallait toujours chercher les points positifs dans toutes les situations, même les plus catastrophiques. C’était toujours ce que je faisais. Parce que comme beaucoup de choses, c’était ce que mon frère m’avait appris, et que je gardais une confiance aveugle et illimitée en lui – quand il n’essayait pas de me tuer, bien entendu.
Qu’est-ce qui l’avait poussé à ça ? À cette folie meurtrière qui suintait de chacun de ses gestes ? À cette peur panique que je lisais parfois par intermittence dans ses yeux, quand la colère et la haine lui cédaient la place, quand il relâchait sa garde et abaissait ses barrières ?
L’image de ses copains du lycée flotta devant mes yeux et je les fermai résolument. « Ça ne peut pas être ses fréquentations », me mentis-je à moi-même, parce que ces gens-là, avec leur aura noire et leurs comportements bizarres, étaient beaucoup trop louches pour ne rien cacher. Mais si je l’admettais, ça aurait voulu dire que j’avais mal joué mon rôle de jumelle – mon rôle d’amie.
La porte était juste devant moi. Avec ses grands vitraux colorés, ceux qui faisaient la fierté de mes parents, avec ses dorures à la poignée et ses moulures dans le bois… La lueur de la pleine lune donnait une ambiance glauque au hall et je trouvai soudain ironique qu’elle soit si ronde la nuit d’Halloween. La nuit d’Halloween, qui assistait à la déchéance de mon frère.
Mon frère qui se tenait juste devant la porte, juste devant moi, et dont les doigts étaient crispés sur le manche du couteau de boucher qu’il tenait à la main. Il le serrait si fort que ses jointures étaient blanches.
Il m’offrit un sourire, le même que celui de d’habitude, mais tout de même bien plus effrayant. « Je te retrouve enfin », cracha-t-il, et ses yeux lancèrent réellement des éclairs, j’en étais presque sûre. « Tu jouais à cache-cache ? Comme lorsque l’on était petit ?
- Comment en es-tu arrivé là ? Pourquoi tu veux me tuer ? » Et je pleurais, je pleurais vraiment, mais cela sembla loin de l’attendrir car son expression se durcit un peu plus.
« Je le dois. Et pour information… » Ses yeux se remplir soudain d’une brusque tendresse. « Je ne te déteste pas. C’est juste que… » Il se tut et se rapprocha un peu.
Je voulais gagner du temps. C’était tout ce à quoi j’aspirais. « Que quoi ?
- Que tu seras plus en sécurité après », souffla-t-il. Et je pris à ce moment conscience, réellement conscience, de sa démence furieuse, de la folie pure qui l’habitait, et je réalisai que non, il n’était pas un monstre – il était devenu bien pire.
Les larmes coulaient librement quand il s’approcha doucement vers moi, son arme pointée devant lui, ses yeux fixés dans les miens. De deux pas je reculai, mais il était déjà sur moi, et la lame s’enfonça doucement dans mon estomac, et je ne sentis pas tant la douleur que l’amertume de m’être laissée faire. D’avoir été si naïve. De l’avoir laissé sombrer.
« Je t’aime, sœurette. » Et l’agonie me fit sûrement délirer, parce que ce ne put certainement pas être de la tristesse et du regret que je lus alors dans ses prunelles entrouvertes. Mae, ça a été ? (ou ça ira ? si tu fais ça ce soir )
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Maeleo As de l'acrylique Date d'inscription : 17/10/2012 Age : 26 Localisation : dans ma bulle
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Lun 16 Nov 2015, 20:30 | |
| J'ai environ la moitié, mwuhu, je termine toujours au dernier moment, fidèle à moi-même Mais ce sera rendu à temps, pas de soucis ! Je lirai ton texte plus tard Lehanna, j'ai une battle à finir o/ *s'envole vers son destin* EDIT : mon destin est accompli ! Voici mon texte, et il fait 940 mots ! - Spoiler:
Tes yeux rencontrent les miens. C’est là que tu deviens fou. Tu me détestes pour ce que je t’ai fait, tu me détestes pour ce que je suis, tu me détestes pour la liberté que tu n’as pas, celle que tu n’as plus. Tu tires sur tes chaînes, ayant vainement l’espoir qu’elles cèdent à ta faible force. Tu n’es plus qu’une bête démente et enragée qui dans un désespoir le plus total, fonce sans réfléchir. Tout ceci n’est qu’illusion. Plus jamais tu ne t’évaderas d’ici. Là est ta dernière demeure, ta vie, ton tombeau. Tant que je serai en vie, tu n’en sortiras pas.
Tu t’es échappé trop de fois auparavant, ruinant ma vie en étant si semblable à moi. Tu es né en même temps que moi, sûrement quelques heures après. Tu as mon visage, ma voix, mes yeux, mon allure, tu es moi. Comme moi. Mais tu es si différent, je ne peux plus me permettre de te laisser la liberté. Tu t’es trop servi de cette ressemblance pour te faire passer pour ma personne, pour faire croire que j’avais fait d’atroces choses.
Tu as toujours su te cacher des gens, tu as toujours su cacher ton existence, tuant sans une hésitation ceux qui t’avaient découvert. Combien en as-tu tué ainsi ? Deux, dix, une centaine ? Les victimes s’accumulent derrière toi, te supplient, à moitié mortes, à moitié vivantes, tendent des doigts osseux vers toi, puisent dans leurs dernières forces pour implorer une clémence dont tu ne sais faire preuve. Tu n’es qu’une bête sauvage et inhumaine, le fruit du mal. Personne ne saurait t’arrêter, sauf moi. Je suis le seul à le pouvoir. Car je suis le seul que tu ne peux tuer.
Pourquoi, je ne l’ai jamais su. Il te suffirait de me tuer, puis prendre ma place dans ce monde, arrêter de faire ce que tu fais à mon insu, mais le faire véritablement, sans crainte d’être arrêté et remis aux chaines. Seulement quelque chose t’en empêche. Tu ne serais plus réellement entier sans moi. Est-ce pour cela que tu n’oses m’infliger ce que tu infliges aux autres ?
Tu hurles, montre tes dents pourries, grognes, rages, tires encore et encore sur tes chaines, tu veux m’atteindre, me faire du mal, prendre le contrôle de ma vie une fois de plus. Je ne bouge pas, te laisse venir un peu plus jusqu’à moi. Tu caresses l’espoir d’y parvenir, souris cruellement, avant de t’effondrer, rappelé par les chaines.
Ton esprit n’est plus qu’animé par la haine, tes yeux sont fous, révulsés, ta vision est noyée dans un océan noir. Je me demande même si tu parviens à me voir.
Tu ronges tes chaînes, attaque l’acier de tes dents abimées, tu n’as plus rien à perdre. Tu grognes, tel un animal. Tu n’es plus humain, tu n’as d’humain qu’une apparence grossière. Tu n’es même plus un animal, à ce stade. Rien qu’un être acharné, abandonné de tout bien.
Qu’es-tu ? Qu’es-tu, toi qui me suis à chacun de mes pas, qui te cache dans mon ombre, qui murmure à mon oreille des paroles visqueuses et nocives ? Qu’es-tu, toi qui prends plaisir à tuer dans la plus grande discrétion ? Qu’es-tu, toi qui ne saurais t’arrêter ?
Comment meurs-tu, créature du mal ? Tu ne crains ni la lame, ni le feu, pas plus que le manque de faim, de soif, ou de sommeil. Même la mort ne semble pas vouloir de toi. Alors comment disparais-tu de ce monde ? Rien ne s’avère fonctionner. Tu es increvable. Pourtant, il est de mon devoir de te détruire. Tu le sais, n’est-ce pas ? Tu sais comment te réduire à néant, mais tu refuseras de me le dire. Ce n’est pas mourir que tu veux. Mais donner la mort.
Tes chaînes se brisent. Ta fureur a eu raison d’elles. Et je te vois te lancer vers moi, une folie meurtrière habitant tes yeux. Tu ne me laisseras pas m’en aller cette fois-ci. Tu es déterminé à me tuer, quoi qu’il en coûte. Tu es prêt à tuer la seconde moitié de toi-même, le seul bien qui soit encore auprès de toi. Tu es prêt à tuer la seule chose qu’il te restait.
Je ne peux m’enfuir, je ne l’ai jamais pu. Cet endroit est confiné, minuscule, là se déroulera le combat, comme à chaque fois. Sauf que ce combat-là sera le dernier. Ce combat-là connaîtra une mort, la mienne. Je n’ai plus la force de lutter. Tu es devenu bien trop fort, bien trop puissant, prêt à prendre le contrôle de nos deux corps, tandis que je peine à garder celui du mien.
J’ai laissé ta rage grandir trop longtemps, j’ai fait une erreur. Tu semblais calme, tu cachais ta puissance. Pour la laisser éclater.
Tu griffes, mords, le sang ne coule pas. Je ne meurs pas. Je ne peux mourir. Aucun de nous ne le peut, en vérité. Nous sommes semblables, te souviens-tu ? Tu ne mourras pas, je ne mourrai pas. Ce combat est sans issue, finalement.
Nos deux corps se mêlent, tentent de ne former plus qu’un, de nous sauver de cette folie qui finira par nous dévorer.
Pourquoi sommes-nous nés ainsi, mon frère ? Pourquoi ne sommes-nous pas une seule entité équilibrée et saine ? Pourquoi a-t-il fallu que deux êtres opposés se partagent ce corps, pour s’y battre une éternité, sans pouvoir se départager, sans pouvoir vivre, sans pouvoir mourir ?
De pesantes menottes entourent mes mains. J’ai perdu. Qui sait ce que tu auras le temps de faire de ce monde avant que je ne me libère.
Pourquoi sommes-nous nés ainsi ?
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque Mar 17 Nov 2015, 18:20 | |
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| Sujet: Re: Spécial Halloween [Lehanna & Maeleo]Jumeau démoniaque | |
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